JdRP Previews : Acopa : les royaumes célestes des Atzlanti
Acopa, le royaume divin des Atzlanti, a de nombreux sous-royaumes. Certains sont réservés pour les dieux, tandis que d’autres sont le séjour de certaines âmes mortes jugées dignes de vivre avec l’inflexible panthéon aztèque. Le royaume divin lui-même prend la forme d’une gigantesque pyramide à degrés qui se dresse au milieu d’une jungle tropicale dense. C’est au sommet de cette structure que Xiuhtecuhtli s’est sacrifié lui-même et est devenu le Pilier du Soleil qui connecte l’Acopa au Monde des mortels. Le Pilier est encore plus visible ici, une colonne de feu qui s’élève jusqu’à percer le ciel d’Acopa et qui s’étend hors de vue, même pour les dieux, en dépit du fait qu’il soit présent sous différentes formes dans chaque niveau d’Acopa. Bien que cette flamme fournisse aux esprits un accès à l’Axis Mundi, très peu ont un niveau de Légende suffisant pour l’activer – ou le sang nécessaire pour son sacrifice. A la base du temple se dresse un autel massif en pierre. Chaque fois qu’un prêtre, un adorateur ou un scion des Atzlanti fait un sacrifice humain dans le Monde des mortels, la table ruissèle de sang. Sa surface est profondément souillée de rouille brune, la marque de centaines de milliers, peut-être de millions, de sacrifices au cours des siècles. Voyager d’un niveau d’Acopa à l’autre est possible par des moyens propres à chaque niveau. Par exemple, on pourrait escalader la fumée des feux des cuisines de la Terre fertile pour entrer dans le Ciel nocturne, et ensuite plonger dans une des constellations basées sur l’élément aquatique pour voyager jusqu’à la Grande Mer. Chaque étape est progressivement plus difficile à accomplir. Voyager du douzième au treizième niveau est généralement considéré comme étant impossible pour tous sauf pour Omeyocan lui-même. Le premier paradis – Mocuiltono – la Terre fertile : Le premier niveau d’Acopa est en fait en dehors du grand temple, dans la clairière et la jungle autour de la structure. Le sol ici est riche de potentiel, et toutes les sortes de nourriture nécessaire pour la vie de tous les jours poussent librement ici, des fruits et des céréales, des racines et des légumes, et les animaux qui s’en nourrissent. C’est un havre généreux, et la demeure de ceux qui ont pris grand soin de leurs maisons, fermes et familles avant leur mort. (...)
Chacun des feux de cuisine est ici un aspect du Pilier du Soleil et tous peuvent être utilisés comme Axis Mundi. Le deuxième paradis – Yoalli – le Ciel nocturne : Le second niveau d’Acopa est le paradis du Ciel nocturne, un lieu d’éternelles ténèbres éclairé uniquement par la voie lactée et les constellations, qui plutôt que de les surplomber, entourent ceux qui marchent dans le Ciel nocturne. Il semble ne pas y avoir de terre ici. Ceux qui voyagent à travers le Ciel nocturne marchent sur ce qui semble être de l’air à l’état solide. Ce royaume est inhabité, à l’exception du sous-royaume de Tezcatlipoca dont le Grand Miroir Fumant reflète le vide étoilé. Chacune des étoiles ici est un aspect du Pilier du Soleil, et toutes peuvent être utilisées comme Axis Mundi. Tlatocatezcatl – le miroir des dieux Dans les profondeurs du Ciel nocturne, l’entrée de Tlatocatezcatl, le royaume privé de Tezcatlipoca, peut être trouvée par ceux qui braveront la colère du dieu du Destin pour y avoir pénétré sans autorisation. Plus sombre encore que Yoalli, Tlatocatezcatl apparaît n’être qu’une grotte profonde et sinueuse qui mène finalement à une chambre d’obsidienne, qui est la demeure de Tezcatlipoca dans le Monde supérieur. C’est ici que peut être trouvé le Miroir Fumant, l’Axis Mundi privé qui permet d’accéder à n’importe quel miroir du Monde des mortels. Tezcatlipoca n’est pas un dieu généreux et il est notablement peu disposé à autoriser l’utilisation de son miroir par d’autres que lui, à l’exception de ses propres scions. Le troisième paradis – Aya uhcazamalolt – le Royaume arc-en-ciel : Peu d’endroits dans le Monde supérieur contiennent une telle beauté et créativité que le troisième niveau d’Acopa. Demeure de Quetzalcoatl, ce royaume de luxuriante jungle incarne tout le potentiel des Atzlanti et de leurs adorateurs. Alors que la technologie et la construction sont du domaine du sixième niveau, ici fleurit la créativité sur chaque facette du territoire. Les oiseaux et les bêtes poussent une infinité de chants ; même le vent dans la canopée semble murmurer de façon mélodique et prometteuse. L’Axis Mundi de ce royaume n’est pas un feu physique, mais le feu de la créativité. Pour l’utiliser, quelque chose doit être créée : un poème, une chanson ou un dessin. Tout travail de création suffira, quelle que soit sa qualité, mais il doit être volontairement brûlé en sacrifice à Quetzalcoatl et au Pilier du Soleil. Le quatrième paradis – Tlalocan – le Grand Printemps : Le quatrième niveau d’Acopa est Tlalocan, le paradis du Grand Printemps, un paradis paisible d’un vert intense, aux lacs primitifs, à la brume gracieuse et au printemps éternel. Ce royaume est la demeure des mortels qui se sont noyés ou des enfants qui sont mort-nés, et il est surveillé par Tlaloc, le dieu de la Pluie et de l’Eclair, ainsi que ses servants mineurs immortels. Il abrite également les milliers d’enfants qui ont été noyés en sacrifice à Tlaloc au cours des siècles, et ceux qui ont été frappés par la foudre et ainsi choisis par le dieu pour y résider. Le Pilier du Soleil est présent ici sous la forme des nombreuses lucioles et libellules que l’on trouve dans le royaume et qui brillent d’une lueur d’outre monde. N’importe lequel de ces insectes peut être utilisé comme Axis Mundi. Le cinquième paradis – Cicitlallo – la Demeure des Comètes : Les cinq dieux aztèques de l’excès, le Macuiltonaleque, règnent sur le cinquième niveau d’Acopa, dont on pense qu’il est la demeure des comètes, ou « étoiles fumantes », qui apparaissent occasionnellement dans le Ciel nocturne, mais qui n’en sont pas natives. Le royaume semble être ici une gigantesque comète que chevauche le Macuiltonaleque. Aucun mortel n’existe ici, et la queue féroce de la comète est la représentation du Pilier du Soleil et peut donc être utilisée comme Axis Mundi. Le sixième paradis – Mamalhuaztli – la Demeure des Archets à Feu : Le sixième niveau d’Acopa est la demeure des divinités mineures qui ont donné au peuple aztèque leur technologie. Ici, le premier couteau fut conçu et donné aux Aztèques pour que l’humanité puisse faire plus facilement des sacrifices aux Atzlanti. C’est en ce lieu que le premier archet à feu (un moyen de créer le feu dans l’environnement humide de la jungle en utilisant une tige et un archet pour créer de la chaleur par la friction) fut créé est donné aux premières tribus Aztèques. Le sixième niveau de l’Acopa a l’apparence d’un petit village, dans lequel de nombreuses divinités mineures se rassemblent autour de feux de camp et partagent les histoires de leurs créations passées et des idées pour de nouvelles. Ces feux sont, bien évidemment, les manifestations du Pilier du Soleil et peuvent être utilisés comme Axis Mundi. Le septième paradis – Tzompatic – le Paradis Gauche : Huitzilopochtli règne sur le septième niveau d’Acopa et peu osent le déranger dans son domaine. C’est un lieu de violence gratuite, où les êtres indignes sont emmenés pour être punis, à la grande joie du dieu de la Guerre. Le trône de Huitzilopochtli est adossé à un grand soleil ardent, qui est une manifestation du Pilier du Soleil et peut être utilisé (par ceux qui osent risquer sa colère) comme Axis Mundi. Les Aztèques pensaient que le sud (et la gauche) est la direction du paradis et de la perfection – d’où son nom. Le huitième paradis – Tlalloliniliztli – le lieu de naissance des tremblements de terre : Si premier niveau de l’Acopa est la demeure de la terre fertile, le huitième est la demeure de sa fureur. Ici, le sol est constamment secoué par des secousses et de fréquents tremblements de terre fissurent le sol rocailleux pour révéler du magma en fusion (un aspect du Pilier du Soleil) sous sa croûte. Ce magma peut être utilisé comme Axis Mundi. Le neuvième paradis – Ehecatlan – la Capitale orageuse : Alors que Tlalocan (le Grand Printemps) est surveillée par Tlaloc et ses serviteurs, la Capitale orageuse est sa demeure. Ici, de féroces orages grondent tout le temps, frappant tous ceux qui voyagent dans le domaine avec une pluie glaciale et des grêlons tranchants. La foudre est aussi fréquente et ceux qui sont frappés peuvent utiliser sa connexion avec le Pilier du Soleil comme Axis Mundi, mais ne sont pas immunisés à son pouvoir et subissent trois niveaux de blessures graves pour chaque frappe qu’ils reçoivent. Le dixième paradis – Tonatiuhican – le Feu éternel : Le dixième paradis d’Acopa était autrefois le domaine de Nanautzin, le dieu de l’Humilité, qui se sacrifia lui-même pour devenir le nouveau soleil quand le précédent s’est éteint. Depuis son fier sacrifice, le royaume reste enflammé, mais n’est pas maîtrisé par sa présence. Ceux qui voyagent à travers le dixième niveau sont sujets aux explosions infernales d’une substance similaire à du napalm qui s’accroche à tout ce qu’elle touche et continue à brûler. Ces flammes sont un aspect du Pilier et peuvent être utilisées pour voyager, cependant ceux qui le font subissent automatiquement cinq niveaux de blessures critiques à cause de ce feu incontrôlé. Le onzième paradis – Neltiliztli – la Vérité cachée : Alors que beaucoup des aspects de l’Acopa sont physiques ou élémentaires par nature, le onzième niveau du paradis aztèque est un lieu de mystère. C’est ici que les prêtres aztèques qui cherchent à percevoir le futur projettent leur conscience, car il est dit que tout ce qui est arrivé et tout ce qui va se produire se trouve dans les étendues labyrinthiques de ce royaume. Toutes les tentatives d’utilisation des dons de la Prophétie sont automatiquement réussies au sein de ce royaume, même si les individus doivent sacrifier un niveau de santé (sous forme de saignées) pour chaque allusion prophétique reçue. Enfermé dans les profondeurs de ce royaume labyrinthique se trouve le sous-royaume de Tlazoltéotl. Avec un test étendu de (Astuce + Investigation), ceux qui sont conscients de la présence du royaume-égout peuvent trouver leur chemin à travers les dangers du labyrinthe et demander audience à la déesse des ordures. Cette action possède une difficulté cumulée de 250, avec un intervalle d’une demi-heure. Le Pilier du Soleil est également caché dans ce sous-royaume d’Acopa. La plupart de ceux qui entrent dans ce royaume le font par le domaine infernal qui est en dessous. Mais pour ceux qui osent braver les profondeurs de puanteur et de détritus, le Pilier peut être trouvé dans le domaine de Tlazoltéotl. Le douzième paradis – Quichia – la Lieu de l’Attente : Comme dans beaucoup de cultures, les prophètes Atzlanti pensent que l’ère actuelle fait partie d’un cycle et qu’un nouveau cycle commencera dans le futur. Quand le moment viendra et que la race humaine actuelle sera détruite, les Atzlanti exigeront les âmes suffisamment fortes et pures pour repeupler le nouveau Monde des mortels. Ici dans le Lieu de l’Attente, les âmes des bébés et des puissants guerriers qui les protégeront, attendent la fin du cycle actuel. Xipe Totec, le dieu de la renaissance, règne ici. Lui seul contrôle l’accès au Pilier du Soleil depuis son royaume, pour que les âmes en attente ne puissent pas être accidentellement libérées et quitter la nouvelle ère sans personne pour la peupler. Ceux qui souhaitent accéder à l’Axis Mundi depuis le Lieu de l’Attente (ou le Lieu de l’Attente depuis le Pilier) doivent négocier directement avec le seigneur écorché, qui peut très bien les envoyer accomplir un voyage physique et métaphysique pour prouver leur intégrité et leur engagement dans leur quête avant de se voir accorder le passage. Le treizième paradis – Omeyocan – la Demeure du Créateur : On dit qu’Ometeolt règne sur ce niveau du paradis aztèque. Contrairement aux Atzlanti, Ometeolt s’est retiré du Monde des mortels peu de temps après l’avoir créé lui et le premier des autres dieux, et il n’a plus été vu depuis. Il n’y a pas d’entrée facile pour la Demeure du Créateur et une rumeur prétend que pour y accéder depuis le Pilier du Soleil, il faudrait qu’un dieu sacrifie sa vie pour être accepté sur Omeyocan. Au fil des ans, plusieurs scions ont essayé, mais aucun n’est revenu, il n’est donc pas certain que leur sacrifice fut un succès – ce n’est d’ailleurs peut-être qu’un acte stupide. Axis Mundi : Tonatiuh – le Pilier du Soleil : Autrefois Nanautzin était comme le reste des Atzlanti : un dieu qui parcourait le Monde supérieur et le Monde des mortels, engendrait des scions parmi son peuple et acceptait les sacrifices qui lui étaient adressés. Toutefois, avant que le Titan Atzlanti Huracan ne soit lié, le Ciel sans fin d’Ehekatoyaatl menaçait de couper Acopa du Monde des mortels. (S’il avait été maintenu dans son royaume d’origine, plus personne n’aurait pu l’atteindre.) Malgré le sacrifice de villages entiers pour renforcer les dieux, les Atzlanti étaient incapables d’arrêter le Titan sans qu’il ne détruise leur lien avec le Monde des mortels. Finalement, il devint clair qu’un sacrifice humain n’était pas suffisant pour empêcher le Titan de détruire la connexion entre le Monde des mortels et Acopa. Nanautzin, le plus humble des Atzlanti savait ce qu’il devait faire, et aidé par Xipe Totec, il se sacrifia, répandant son sang divin sur la connexion endommagée entre les royaumes. Nanautzin s’attendait à être entièrement détruit par son sacrifice. Seul Xipe Totec ne fut pas surpris par la métamorphose du dieu. A l’endroit où se tenait autrefois le jeune et beau dieu, jaillissait désormais un pilier de flammes solaires qui liait définitivement chaque niveau d’Acopa au Monde des mortels. Cette connexion permit aux Atzlanti d’agir comme un seul homme et de lier le Titan dans la prison qu’ils avaient préparé à son intention dans le Monde inférieur. Nanautzin n’est plus ce qu’il était. Il ne reste rien de la personnalité du dieu, bien que des sacrifices lui soient dédiés en tant que Tonatiuh, et des rumeurs disent qu’il lui est toujours possible « d’engendrer » des scions, à travers ceux qui ont été « touchés » fortement par le feu (tout particulièrement ceux qui se sacrifient pour les autres) et qui ont survécu. A ce jour, la connexion créée par Nanautzin entre les royaumes se dresse, nommée Tonatiuh, le Pilier du Ciel, et sert d’Axis Mundi entre le Monde des mortels et Acopa. Ceux qui utilisent le Pilier du Soleil comme connexion entre Acopa et le Monde des mortels peuvent le faire en montrant du respect envers Tonatiuh dans n’importe quel lieu de n’importe quel niveau du paradis aztèque où le Pilier du Soleil jaillit. Ce respect prend la forme de l’utilisation de 1 point de Légende – et le voyageur doit verser un peu de son sang dans le feu. (Ceux qui souhaitent utiliser l’Axis Mundi doivent s’infliger un niveau de blessure grave et verser ce sang dans le Pilier du Soleil en sacrifice.) Voyager du Monde des mortels vers Acopa nécessite un sacrifice similaire. Un niveau de blessure grave et du sang sacrifié au feu, pendant l’utilisation de 1 point de Légende. Quel que soit le lieu que le voyageur voulait atteindre, il se retrouvera à l’extérieur du grand temple, dans le premier paradis. Voyager plus loin à l’intérieur d’Acopa doit se faire par d’autres moyens. Idées d’aventures à Acopa : * Une jeune femme s’approche des scions, cherchant leur aide. Elle affirme être une scion de Tonatiuh qui pense avoir trouvé un moyen de libérer son père de sa « prison ». Le plan nécessite cependant que quelqu’un prenne volontairement sa place. Sera-t-elle capable de convaincre le groupe de l’aider à trouver un dieu volontaire pour ce sacrifice ? Peut-être un des héros ? * Le groupe est invité à participer à un tournoi d’athlétisme, le prix étant une dague privilège qui permet aux non-Atzlanti d’accéder au domaine Atzlanti d’Itztli. Ce que les héros ne savent pas, c’est que la dague engendre une soif de sang chez celui qui la porte. Chaque jour, le porteur de la dague d’obsidienne doit lutter contre l’envie de l’utiliser (Astuce + Intégrité). Chaque fois qu’un don d’Itztli est utilisé, le scion reçoit un malus de –1 dé à ce test. * Découragé par le climat apocalyptique dans le Monde des mortels (guerres, maladies, famines, etc.), un scion de Tonatiuh en est venu à croire que les maux du monde sont dus au manque de sacrifices pour son père. Il croit qu’il peut renforcer son père, et ainsi le monde, en accomplissant des sacrifices humains, et le scion est assez rusé pour les faire sans se faire remarquer… apparemment depuis des années. Est-ce que le groupe pourra l’arrêter ? Et si c’est le cas, le feront-ils s’ils savent que cela peut aider le Monde des mortels ? Depuis le siège – la chute du ciel : Tous ceux qui ont été témoins des effets du vent sur les incendies de forêts peuvent le confirmer, la combinaison de l’air et du feu peut produire des effets dévastateurs imprévisibles. Le siège d’Acopa par Ehekatoyaatl en est la preuve, au niveau cosmique. Tout comme un vent fort peut souffler une faible flamme, ou une flamme vive être renforcée par une brise légère, le siège d’Acopa est la collision frontale entre l’immuable soif de sang des Atzlanti et leur réalité violente avec la force irrépressible de la forme élémentaire archétypale d’Ehekatoyaatl. Les résultats ne pouvaient être ni agréables, ni prévisibles. Depuis le commencement du siège, le Pilier du Soleil est hors de contrôle. Toutes ses manifestations, à travers les différents niveaux d’Acopa, enflent et rayonnent de façon dangereuse et chaotique. Des feux de camps, autrefois dociles, menacent désormais de devenir des bûchers funéraires pour les divinités Atzlanti qui habitent tout autour d’eux, aux colonnes de magma et aux éclairs qui infligent des dommages doublés à ceux qui sont frappés par leur colère, les effets du grand vent sur l’Acopa sont profonds et dévastateurs.