AmnesYa 2k51
sur Black Book Edition au format (2 Mo)
Contient : implants(...) En interne, l'arsenal législatif a été renforcé face à la menace toujours présente du terrorisme et de l'activisme radical ; le système scolaire a été privatisé ; le droit de vote a été restreint (pénalisant ainsi les classes sociales les plus pauvres) ; la violence urbaine est omniprésente (méfiez-vous des « babyslashers », ces confréries d'étudiants ou de lycéens réunis en gangs, adeptes de la violence et des duels à l'arme blanche) ; de gigantesques centres pénitentiaires ont vu le jour... En matière de politique extérieure, à la suite de la guerre en Irak, le pays s'engage dans d'autres conflits armés en Syrie, en Iran, ou plus tard en Asie et dans le Pacifique, des guerres qui s'enlisent comme autant de nouveaux Vietnam... Côté science et techniques, parlons un peu de la cybernétique à la mode AmnesYa : la léganthropie... Deux branches différentes se sont développées en parallèle : la transgénèse vise à modifier le corps de manière radicale (par le biais de la manipulation génétique par exemple), tandis que la protochirurgie passe par la greffe de prothèses cybernétiques plus classiques, en « céramique organique » souvent (un matériau d'ailleurs indétectable par les systèmes de sécurité !) : muscles synthétiques,implantsoculaires, poumons artificiels, etc. Signe des temps, la mode du « garbage-greffing » est particulièrement immonde : greffes de prothèses rouillées, de membres purulents, d'yeux morts ou autres choses peu ragoûtantes, dans le plus grand mépris des risques d'infections. (...)Chroniques d'une Amérique mutante... « Maman, je suis un monstre. Maman, papa ne comprendra jamais. Je suis un monstre, vous n'y êtes pour rien. J'ai reçu hier les résultats de mes évaluations de la deuxième journée à l'académie. Les analyses de mon sang on révélé des tags nouvellement exprimés, ce qu'ils appellent le NEXTS. Je suis un scorn, je suis un Doppelganger... Je ne pars pas pour le Vietnam. Pour moi, le rêve est terminé. » AmnesYa 2k51. Derrière ce nom mystérieux se cache ...