Pour le Septième de tes Fils : première partie de la
Campagnesur Chez Demehet au format (87 Ko)
C'est il y a bien longtemps maintenant que je quittais mon village de Bondost pour partir sur les traces d'Auric, un de mes amis, mais aussi sur celles de mon frère, Ganalaan, mystérieusement disparu lorsque j'avais 12 ans. C'était en 1623 S. T.(Solara Tempora), à l'époque où la constellation du Dragon s'était éteinte du ciel de Glorantha, notre planète, phénomène que ni les sages ni les magiciens ne savaient expliquer... Les premiers temps de mes errances restent flous dans mon esprit et je ne ...Contient : sanctuaire (4)(...) A propos de ce vampire, les circonstances dans lesquelles nous avons été confronté à lui méritent d'être contées, car il nous menace toujours : Ainsi Kentédior Zarkar, un Héros Runique lunar serviteur de Yanafal Tarnis, (pas n'importe qui ), fut envoyé avec une petite troupe débarrasser une forêt des Broos qui l'infestaient. Le combat eut lieu près d'un antiquesanctuaire. Là une statue, celle d'un vampire, fut arrosée de sang. Cela suffit à réveiller le démon qui massacra Zarkar et tous les Lunars. (...)
Sur le socle de la statue, un nom était gravé : Phenric 1177-1212. Or nous étions en 1623 ce qui faisait plus de 400 ans à Phenric ! Au coeur dusanctuairemaintenant profané, nous découvrîmes sept cercueils, six d'entre eux étaient pourris et éventrés, mais le septième semblait avoir récemment contenu un corps. (...)
Il dédaigna nos réactions de remerciement et nous demanda de quitter la ville avec Romark et Erian et de nous rendre au Bloc ; unsanctuaireprès d'une oasis dans le désert. Ceci dit, Raurarque disparut, nous laissant bien dubitatifs. (...)
Il y avait là quelques femmes et enfants que nous n'avions pas encore vus, ainsi que les hommes que j'avais envoyés chercher des armes. Cependant, j'eus tôt fais de comprendre qu'ils n'oseraient pas pénétrer dans lesanctuairecraignant, non sans raison, la présence d'esprits protecteurs. Aussi, m'avançant seul vers les portes, je tentais de les ouvrir. (...)