La cuisine de Bloodlust
sur Le Ludiste
S'il existe une différence fondamentale dans l'alimentation des nobles et des paysans, des ruraux et des urbains, on constate que certains points communs résident dans les goûts de tous. Tout d'abord l'attrait des épices. On nomme épice (au féminin) tout ingrédient qui modifie ou améliore un plat ; le poivre, le safran, le clou de girofle, mais aussi les amandes, l'oignon ou le sucre. Mais, fondamentalement, se sont le gingembre, le safran, les cannelles (cannelle ou synamone) et le clou de girofle ...Contient : épices (12)La cuisine de Bloodlust S'il existe une différence fondamentale dans l'alimentation des nobles et des paysans, des ruraux et des urbains, on constate que certains points communs résident dans les goûts de tous. Tout d'abord l'attrait desépices. On nomme épice (au féminin) tout ingrédient qui modifie ou améliore un plat ; le poivre, le safran, le clou de girofle, mais aussi les amandes, l'oignon ou le sucre. (...)
Mais, fondamentalement, se sont le gingembre, le safran, les cannelles (cannelle ou synamone) et le clou de girofle qui restent lesépicesles plus utilisés. Cesépicesvont à la fois servir à agrémenter un plat, mais aussi à marquer un statut social. Par exemple, le poivre, épice chère mais courante, va disparaître des ingrédients destinés aux tables noble, au profit du poivre long et de la graine de Tehen, plus lointaines et plus onéreuse. Lesépicesentrent dans la composition de tous les plats, y compris certains « desserts », tarte aux pommes ou fraisée, gâteau aux fraises et au safran. On agrémente aussi certaines siffan d'épices; le fameux verre des lunes utilise de cinq à septépicesdifférentes. Mais l'utilisation desépicesse fait de manière très étudiée ; Non pas comme on pourrait le croire, pour « masquer le début de putréfaction des mets », mais réellement par goût ; pour preuve, la précision avec laquelle les rédacteurs des ouvrages de cuisine les plus réputés de Pôle décrivent lesépicesutilisées, voire les quantités. Toutes cesépicesvont, harmonieusement mélangées, donner une saveur précise à chaque plat. La cuisine offre les mélanges de saveurs les plus élaborés. Notre palais et notre langue savent reconnaître aisément les quatre saveurs. Quant à la gastronomie, elle nous donne le choix entre huit, voire neuf saveurs, chacune d'elle étant dédoublée. (...)
Cet instrument, que l'on trouve dans toutes les maisons, sert à broyer les plantes aromatiques, l'ail, l'échalote ou lesépices, pour ceux qui peuvent en acquérir. Quant au bois, il ne sert qu'à la confection de récipients destinés à la conservation des aliments, au mortier ou à la réalisation de cuillères permettant de remuer, l'usage de ce matériau au feu étant proscrit. (...)
Dans certains cas, particulièrement en milieu urbain, on trouve une deuxième réserve servant à stocker les instruments les moins utilisés, telles les tréteaux et les tables de fêtes, parfois même une troisième resserre où sont stockés les ingrédients de valeur tels lesépicesrares et la vaisselle de table. La vaisselle Avant même de débuter le repas, l'usage veut, quel que soit le milieu social, que l'on se lave les mains. (...)
Faites ensuite dorer les morceaux dans du beurre ou du saindoux. Pour la sauce : Dans une casserole, mélangez 100g d'amandes en poudre, lesépices, le jus de citron, mouillez avec le bouillon de diatrima, salez. Faites cuire doucement en remuant jusqu'à ce que la sauce soit à consistance de crème légère. (...)