Brumaire - Le livret de base : Background
sur Le Ludiste au format (13.8 Mo)
Contient : assemblée (13)(...) La nuit de leur ralliement, ils s'endorment profondément pendant cinq jours. * 7 juin : le tiers-état se proclameAssembléenationale, les deux autres ordres ayant refusé la délibération commune. * 19 juin : effrayés, de nouveaux délégués du clergé se joignent au tiers-état après avoir entendu parler du cas de leurs deux confrères insomniaques. (...)
L'agitation commence à gronder dans Paris. Le marquis de La Fayette présente un projet de déclaration des Droits de l'Homme à l'Assemblée. * 13 juillet : création de la municipalité de Paris et de sa garde bourgeoise. * 14 juillet : prise de la Bastille. (...)
) envisagent d'émigrer, le Comte de St-Germain les persuade in extremis de rester en France. * 4 août : l'Assembléevote l'abolition des privilèges et du système féodal. Encore faut-il passer de la théorie à la pratique, car les nobles ne plient pas. (...)
Au total, sept sans-culottes meurent carboniser et trois autres sont atrocement brûlés. Pendant plusieurs semaines, les révolutionnaires cessent toutes formes de violence. * 26 août : l'Assembléeproclame la déclaration des droits de l'homme et du citoyen. * 5-6 octobre : le peuple de Paris se révolte, marche sur Versailles et demande au roi de signer les décrets d'abolition des privilèges et la déclaration des droits de l'homme. (...)
Des canons remplis de mitraille font feu sur les manifestants, faisant plusieurs centaines de morts. Le roi reste à Versailles tandis que l'Assemblées'installe à Paris. * 21 octobre : les échauffourées entre les royalistes et les révolutionnaires font tellement de victimes que la loi martiale est instaurée. * 2 novembre : l'Assembléetente de nationaliser les biens du clergé. Des scènes de pillage ont lieu un peu partout, mais la majorité des lieux de culte sont protégés par les forces royalistes qui s'opposent au saccage. 1790 : * 21 mars : l'Assembléesupprime officiellement la gabelle. Mais les fonctionnaires royaux continuent de collecter la taxe en prenant toutefois le soin de s'entourer de soldats du roi pour procéder à la perception de l'impôt. (...)
La capitale s'enflamme à cause des pénuries, forçant le roi à faire cesser l'embargo qui tenaille Paris. * 19 juin : l'Assembléeannonce la suppression de la noblesse. Quelques nobles idéalistes ou peureux abandonnent leur titre, mais le reste de la noblesse tourne en dérision la décision des députés. (...)
Une tempête de neige sans précédent rend la manoeuvre militaire complètement désastreuse et élime les appuis prussiens. 1791 : * 16 février : l'Assembléelance une nouvelle monnaie, sans l'effigie du roi, et rend progressivement illégales les anciennes pièces. (...)
Sa progression est lente car une canicule harasse ses troupes. Louis XVI est persuadé que son frère va tenter de le renverser et promet donc à l'Assembléede signer sa constitution si elle repousse ce coup d'état. * 13 octobre : bien que le Comte d'Artois ait été battu en Champagne par une coalition de force révolutionnaire et royaliste, Louis XVI refuse la constitution qui lui est soumise. (...)
Nous avons besoin du concours de nos fidèles sujets pour Nous aider à surmonter toutes les difficultés où Nous Nous trouvons relativement à l'état de Nos finances, et pour établir, suivant nos voeux, un ordre constant et invariable dans toutes les parties du gouvernement qui intéressent le bonheur de nos sujets et la prospérité de Notre royaume. Ces grands motifs Nous ont déterminé à convoquer l'Assembléedes Etats de toutes les provinces de notre obéissance, tant pour Nous conseiller et Nous assister dans toutes les choses qui seront mises sous nos yeux, que pour Nous faire connaître les souhaits et doléances de nos peuples, de manière que par une mutuelle confiance et par un amour réciproque entre le souverain et ses sujets, il soit apporté le plus promptement possible un remède efficace aux maux de l'Etat, que les abus de tous genre soient réformés et prévenus par de bons et solides moyens qui assurent la félicité publique et qui nous rendent à Nous particulièrement, le calme et la tranquillité dont Nous sommes privés depuis si longtemps. (...)
Autrefois, il pendait, suppliciait et émasculait pour la justice royale. Désormais, c'est également au nom de l'Assembléequ'il exécute les condamnés. Le seul réel changement qu'a connu son poste, c'est l'invention de la guillotine, qui lui facilite grandement la vie. (...)
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas une situation avantageuse pour les habitants qui résident dans ses quartiers limitrophes : ils payent deux fois plus de taxes que les autres. En fonction des intérêts du roi ou de l'Assemblée, des mouvements de troupe peuvent avoir lieu dans certains secteurs. Si tel faubourg devient stratégique à contrôler, les deux gardes s'affrontent alors pendant des jours dans une sombre guerre d'embuscades urbaines. (...)Une brève histoire du temps jadis : Ma très chère Sophie, J'aurai dû écrire bien plus tôt, mais les choses à Paris ne se déroulent pas comme je les avais prévues. Tout à fort mal débuter pour moi depuis mon arrivée à la capitale. Dès mon premier jour à Paris, je me suis empressé d'aller me présenter à Maistre Poncardier pour lui montrer la lettre de recommandation de Monsieur de Chouard, J'ai hélas découvert que son étude de notaire venait d'être totalement dévorée par un incendie. Les gens du ...