La Justice impériale
Tout état doit posséder un système judiciaire afin de pouvoir rester cohérent, l'Empire d'Emeraude ne faisant pas exception. Le système judiciaire de l'Empire est basé sur la volonté de l'Empereur, garant de la justice divine suprême. Il a tout pouvoir de décision, et peut donc rédiger, changer ou juger comme il veut les lois et les accusés. La justice impériale : La justice de Rokugan est assez simple, une série de catégories assez large (voir ci-dessous) ont été édictés par les Empereurs ...Contient : justice (22)LaJusticeimpériale Tout état doit posséder un système judiciaire afin de pouvoir rester cohérent, l'Empire d'Emeraude ne faisant pas exception. Le système judiciaire de l'Empire est basé sur la volonté de l'Empereur, garant de lajusticedivine suprême. Il a tout pouvoir de décision, et peut donc rédiger, changer ou juger comme il veut les lois et les accusés. Lajusticeimpériale : Lajusticede Rokugan est assez simple, une série de catégories assez large (voir ci-dessous) ont été édictés par les Empereurs et ses conseillers, et sont toute punies. Lajusticedans l'Empire d'Emeraude est très strict et expéditive, et les circonstances atténuantes sont inconnues. Les châtiments infligés pour les crimes sont fonction du choix du magistrat chargés de l'enquête, mais ils doivent se rappeler qu'ils représentent lajusticede l'Empereur lorsqu'ils rendent leur jugement. Lajusticerokugani est basée sur l'apparence. Un criminel ne peut-être poursuivi que s'il confesse son crime ou si une personne de plus haut rang témoigne contre lui. (...)
Les criminels accusés doivent être reconnus coupable par un magistrat qui s'appuiera sur des faits connus. Cette règle n'est pas toujours facile à respecter et permet à des coupables d'échapper à lajustice. Si un magistrat n'a pas été témoin du crime ou s'il ne peut rapporter le témoignage d'un noble, l'accusé est déclaré innocent et relâché. (...)
Les affaires doivent être traitées pour la plupart très rapidement car la nécessité d'obtenir des témoignages oculaires fait que le temps nuit à l'efficacité. Lajusticeimpériale ne reconnaît pas l'appel, un criminel condamné, injustement ou non, n'à aucune chance de connaître le pardon. (...)
La cour aime s'amuser des débats souvent futiles autour des lois qui seront promulguées. Certains cas sont un peu spéciaux. Lajusticeprivée, en particulier la vengeance, est un acte plutôt noble, signe de sa dévotion envers la victime du crime. Malheureusement un tel acte ne peut être que condamné par lajusticeImpériale car elle va à l'encontre du système. Les actes dejusticeprivée sont donc condamnés (catégorie Violence ou Tromperie, selon le choix du magistrat) et ceux qui les pratiquent doivent s'attendre à des châtiments importants, mais leur kharma n'en sera pas affecté, contrairement à la plupart des crimes. Les familles de ceux qui ont accompli unejusticeprivée honore souvent ceux-ci après leur seppuku. Un mouvement dérangeant pour lajusticeest celui des Toshiyori-koe (les voies anciennes) de la famille Kitsu, soutenu par de nombreux moines et shugenjas. Leur revendication est que les ancêtres et les fantômes peuvent exprimer leurs voies lors d'un procès au même titre que tout samourai, et que les Sodan-senzo Kitsu sont leurs voix mortelles. (...)
Il exister aussi souvent des punitions en fonction de l'endroit où le crime à été commis : dans le district Karada de la cité impériale on jette les voleurs dans la fissure nommée l'Oni Warai (Le sourire de l'Oni), dans les districts Hito et Kanji on jette les incendiaires attachés aux restes de ce qu'ils ont brûlés dans la rivière du soleil, le vol est souvent considéré comme moins important que le brigandage car il est assimilé à une insulte. Les meurtres donnent souvent lieux à une volonté dejusticeprivée, et donc la famille de la victime à le droit de demander à ce que le châtiment soit appliqué à toute la famille du criminel. (...)
Ces crimes dépendaient à l'origine du Champion de Jade, mais la fonction étant inoccupée actuellement, le Champion d'Emeraude est chargé d'assumer que lajusticesoit appliquée pour ces crimes qui vont à l'encontre de l'esprit éternel de chacun. Il s'en remets pour cela aux inquisiteurs Asako et aux Tsukai-sagasu Kuni. (...)
Les manquements qui dépendent de cette catégorie sont rarement vraiment punis, un avertissement étant souvent donnés, et les jugements habituellement donnés en privé car ils sont de peu d'importance. Les magistrats de haut rang ne sont pas considérés par de tels problèmes. Les cours dejustice: Les juges sont le plus souvent des magistrats de haut rang qui tiennent audience dans des endroits publiques ou dans des bosquets ombragés, qui sont habituellement connus de tous. (...)
L'accusé n'aura le droit de s'exprimer que si la magistrat lui adresse la parole, sinon il ne pourra pas se défendre. Les bâtiments des cours dejustice, qui ne sont parfois que des maisons aménagées, possèdent des bureaux avec des scribes enregistrant toutes les décisions et affaires avant de les ranger. (...)
Les plus jeunes d'entre eux parcourent l'Empire sans cesse pour aider les clans et leur collègue à faire régner lajustice, puis sont ensuite affecter à une zone géographique précise. Avec le temps et l'expérience, s'ils restent dans la magistrature ils pourront devenir juge et obtenir des postes de plus grande importance, voir d'apprendre les techniques de l'école de magistrat d'Emeraude, tenues secrètes par les senseis du Palais du Champion d'Emeraude. (...)
Le championnat de jade est une épreuve similaire à celle du Championnat d'Emeraude, comprenant des épreuves de connaissances légales, d'art de la magie et finissant sur une série de duel de shugenjas ( des Taryu-jai). Les différentes visions des clans sur lajustice: Le clan du Dragon : La famille Kitsuki en premier, le clan du Dragon aime la vérité avant l'apparence dans sajustice. Ses goûts pour l'observation et la contemplation font que les tribunaux du Dragon essayent de faire comprendre leur erreur aux accusés, ou s'ils ne comprennent pas, les bannissent. (...)
Le clan de la Licorne : Les traditions du clan de la Licorne font qu'ils préfèrent comme le Dragon la vérité, mais il sait assurer les apparences. Ces tribunaux sont les plus équitables de tous, sachant pesé la part de tradition de lajusticeimpériale avec les critères de vérité de leurs origines gaijins. Le clan du Phénix : Le Phénix aime l'apparence comme la Grue, mais ses tribunaux sont souvent plus cléments, appliquant des peines plus légères et essayant de trouver des circonstances atténuantes, sauf dans les affaires de Maho où les inquisiteurs Asako sont directs et expéditifs. (...)