La Bretonnie
Contient : chevaliers (20)(...) ' - Le baron Talabeclandais Gunthar von Karajan en 2506. LES ARMEES BRETONNIENNES [Warhammer Armies et WD 137] : Dans tout le Vieux Monde, leschevaliersconsidèrent la bretonnie comme un modèle de chevalerie et de vertus chevalières. Il est universellement accepté que leschevaliersde Bretonnie représentent le pinacle des idéaux guerriers. A la guerre contre d'autres occidentaux, le chevalier bretonnien est magnanime aux prisonniers nobles, courtois envers les vaincus et généreux dans sa victoire. (...)
Il est porté à l'épaule ou un chariot à deux chevaux. Il peut également comprendre une bannière magique.Chevaliers: L'armement normal du chevalier est le destrier, l'armure lourde, la lance de cavalerie, le bouclier et le caparaçon. (...)
Cependant, il y a bien entendu des cas où c'est impossible et même la fleur de la chevalerie doit combattre à pied. Jamais à l'aise dans ce rôle, leschevaliersne combattent pas aussi bien que lorsqu'ils sont montés, mais quoi qu'il en soit ce sont les meilleurs fantassins d'une armée bretonnienne. - Chevalier d'honneur : Les plus nobles deschevaliersbretonniens, les amis personnels et alliés du roi. C'est aussi la crême de l'élite de la chevalerie. - Chevalier de Notre Dame des Batailles : Il s'agit d'un ordre dechevaliersbretonnniens dont les bannières sacrées portent l'emblème de 'Notre Dame des Batailles' (appelée affectueusement dans l'ordre 'La Femme Fatale'). -Chevaliersrampants : Il s'agit de jeuneschevaliers, cherchant à se faire une réputation sur les champs de bataille. - Noblesse d'épée : La noblesse d'épée rassemble leschevaliersdes provinces rurales. -Chevalierserrants : Ce sont soit deschevaliersbretonniens envoyés par le roi pour aider les alliés de la Bretonnie ou des bandes dechevaliersdans une quête cherchant l'honneur, la gloire et une réputation en combattant pour de nobles causes dans des contrées étrangères. Hommes d'armes : Les bretonniens emploient deux types d'hommes d'armes réguliers : les suivants deschevaliers('vilains') et les troupes sont déployées et équipées par les villes bretonniennes pour la défense du royaume ('paillards') . Les troupes citadines emploient la hallebarde ou l'arbalète et une armure légère. Les suivants deschevalierssont les troupes personnelles amenées à la bataille par leschevalierset autres nobles de Bretonnie. Ils portent la livrée de leur seigneur féodal qui peut être un deschevalierscombattant avec ses confrères ailleurs dans l'armée. Les suivants sont bien entraînés et bien équipés. Ils font parti des meilleures troupes d'infanterie des armées bretonnienne. Ils peuvent avoir un armement varié qui dépend de leur rôle et de la fortune de leur seigneur: arme à une main, boucliers , hallebardes, armes à deux mains, lance ou arbalète. (...)
Ces conscrits incluent des artisans, des fermiers et d'autres individus relativement aisés, ainsi que des moins recommandables. Ils ont peu d'expérience ou de formation militaire. Méprisés par leschevaliers, ils sont appelés 'rascals' et forment de vastes unités. Les conscrits qui ont eu la présence d'esprit d'amener leurs arcs sont rassemblés en unités de 'vauriens' sinon, ils peuvent avoir des lances et des boucliers. (...)
Les bretonniens peuvent s'allier aux halfelings, à d'autres occidentaux et aux elfes sylvains. Quelqueschevaliers. Hommes d'armes et brigands. Conscrits féodaux. Autel de guerre et canon. Bannières bretonniennes : Les étendards bretonniens sont souvent ornés et romantiques. (...)
Peu d'entre eux seraient assez rustres pour aller à la bataille avec une bannière démodée : 'Oh mais Pierre, n'as-tu donc point réalisé que les griffons furent la mode de l'année dernière!'. Les unités les plus prestigieuses (chevaliersd'honneur et ceux issus d'ordre de chevalerie voire leschevalierserrants) peuvent avoir des bannières magiques. Synthèse WFRP, WFB3, Warhammer Armies.La Bretonnie est un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire ...