Oni soit qui mal y pense…
sur Asmodée au format (271 Ko)
Contient : crâne (4)(...) » L'esprit éclata d'un rire sardonique avant de disparaître. L'éclat de ce rire rauque et glacial se répercuta quelques minutes encore dans lecrânede l'homme agenouillé ; Hojitsu pleurait de rage. Si au moins il n'était pas seul ! Même son honorable sensei avait péri sous les coups de l'Oni et de ses sbires... Moto Hojitsu avait beau retourner la question dans tous les sens, il ne pouvait réussir seul, il lui fallait céder. (...)
- Effets physiques graves : · la peau du nez commence à tomber en lambeaux, laissant apparaître les fosses nasales ; · apparition de doigts, d'orteils, de membres, de tête, d'oreilles, d'yeux et de dents ayant subi d'horribles déformations et mutilations sur des parties du corps où ils n'ont rien à faire ; · déformations de la colonne vertébrale (apparition de bosses dans le dos) et graves déformations du squelette et ducrâne; · apparition d'énormes renflements sur tout le corps ; · la langue pourrit et part en lambeaux ; · les poumons commencent à pourrir, rendant ainsi la respiration plus difficile ; · les yeux quittent leur orbite, laissant deux trous béants au fond desquels brille une mystérieuses lueur verte ; · la peau part en lambeau au moindre contact ; · les doigts et les orteils commencent à se souder les uns les autres. (...)
L'esprit éclata d'un rire sardonique avant de disparaître. L'éclat de ce rire rauque et glacial se répercuta quelques minutes encore dans lecrânede l'homme agenouillé ; Hojitsu pleurait de rage. Vous êtes maudit. Depuis votre petite enfance, vous avez bien compris ce fait incontournable pour tout samouraï de votre famille. (...)
Mais vous ne pourrez y arriver seul... Description : Hojitsu a hérité de la pâleur caractéristique des membres de sa famille : son visage ressemble pratiquement à uncrânetant ses traits sont creusés et quasiment blancs. Sous des airs déterminés et volontaires, il dissimule une personnalité troublée et fragile, une volonté vacillante. (...)Une histoire de famille : Le samouraï se tenait droit, presque rigide, face au vent ; face à lui, l'esprit pervers de celui qui fut autrefois l'honorable Jiuketsu s'agitait en tous sens, avec sur le visage un air tantôt narquois tantôt pervers : « - Tu ne peux me résister, petit Hojitsu, je le sais. Cesse de te faire passer pour celui que tu n'es pas ! » Un tressaillement quasiment imperceptible du samouraï fit sourire l'esprit : « - Ah ! Je te reconnais mieux maintenant. Alors, as-tu bien ...