Les Cranes de Cristal
Contient : crâne (10)Les Cranes de Cristal En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent uncrâneen cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya 'des pierres tombées' à Lubaantùn, au Beliz. En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'uncrânehumain féminin. Il pèse 5kg. Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure. Les propriétés optiques ducrânesont étonnantes : - éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites. - Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense (susceptible de mettre le feu) jaillit des orbites, du nez et de la bouche. Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier lecrâneà une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard. (...)
- Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur (avec des traces d'usinage, ce que cecrânen'a pas !), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile. La fabrication manuelle aurait requis 300 années. (...)
Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établis : Nick Nocerino, propriétaire d'uncrânede cristal baptisé 'Sha-Na-Ra' a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier certaines propriétés des crânes. Jo Ann Parks est détentrice de 'Max' et Norma Redo est la propriétaire ducrâneà la croix reliquaire. En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leurcrâneau British Museum à fin d'expertise. Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute. Lecrânedu British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage. Quant aucrâneà la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi que le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix. Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi. (...)En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya 'des pierres tombées' à Lubaantùn, au Beliz. En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. Il pèse 5kg. Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure. ...