C'est pas ma guerre !
sur Le Capharnaüm de Grolf au format (337 Ko)
Contient : intervenants (4)(...) Les familles nombreuses disposent de cabanes plus grandes, et les autres en ont de plus modestes, ce qui donne de grandes variétés de taille entre les bâtisses.IntervenantsLes personnages forment le détachement qui part en mission. Dans le village, il y a une centaine de personnes, parmi lesquelles on trouve des hommes, des femmes, des enfants et des vieillards, composant plusieurs familles. (...)
On peut y croiser des missionnaires religieux européens, principale-ment français, ainsi que des soldats étrangers : des français, des espagnols, des anglais, des portugais... La vie y reste toutefois très rurale.IntervenantsLephan N'Guyen, une jeune femme qui connaît le groupe des Dragons de Saigon, comptant une dizaine d'acolytes. (...)
La grande salle centrale est bordée de colonnades et un grand autel se trouve dans le fond. Le portail est une sorte d'arche lumineuse dont la surface ressemble à du mercure liquide.IntervenantsDes sentinelles isolées sont postées un peu partout dans le temple. Il y en a une vingtaine en tout. (...)
Lieux Le décor est le même que pour la scène précédente, si ce n'est que le temps a fait son oeuvre, et que les dégradations sont encore plus importantes que 150 ans plus tôt. De plus, la végétation a aussi nettement gagné du terrain.IntervenantsUne vingtaine de soldats Viêt-cong se trouvent dans le temple qui leur sert de camp retranché. (...)1969. Viêt-Nam. Nord-ouest de Saigon. Voilà bientôt six ans que les troupes américaines sont présentes sur le sol vietnamien. Les personnages font partie d'un commando de Marines devant partir en mission d'espionnage près d'un village supposé abriter des partisans du Viêt-Cong. Ils tomberont dans un piège qui leur fera faire un petit détour en 1823, pour revenir enfin et tomber sur la véritable cachette des guérilleros vietnamiens, un temple abandonné perdu en pleine jungle. Les personnages Les ...