Chronique ludique : Bloodlust édition métal
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Contient : adoré (2), adore (2)(...) Je dirais même que le résumer à ça reviendrait à passer à côté du jeu. Après ces quelques phrases, je ne voudrais pas vous induire en erreur, j'aiadoréla lecture du jeu (et j'ai hâte de le faire jouer). En creusant un peu, et pas plus loin qu'après la page de crédits, on trouve un avertissement. (...)
Une belle pièce au manche fait d'os et à la lame d'acier poli surmonté d'un dragon stylisé... Hum, ça s'annonce bien... « J'adorequ'on me regarde mon petit Porteur... » Hein qu'est-ce que c'est... Ca y est, je comprends. J'ai hérité d'une ArmeDieu en débarquant ici. (...)
D'où je viens ne regarde pas les mortels. A toi je vais pourtant dire pourquoi nous sommes ici : pour ressentir. Nous avonsadoréécouter et regarder les créatures s'aimer, se déchirer, se haïr et inventer une infinité de variantes où les plus tordues côtoient les plus nobles. (...)
Présenter les bonhommes serait un plaisir mais bon ça pourrait faire une chronique ; je vous renvoie donc à leur biographie sur le Grog ainsi qu'à leurs sites personnels. Les illustrations sont presque paradoxales, aussi simples que détaillées, j'adoremais c'est affaire de goût. Par contre c'est indéniable, elles sont très pratiques ne serait-ce que parce qu'une douzaine de personnages de chaque peuple sont représentés. (...)Salutations vagabondesques, Aujourd'hui direction Bloodlust version Métal des éditions John Doe. Oui, oui, vieux rôliste ton oreille vibre au son de cet antique jeu de rôle sorti en 1991 chez Asmodée. Les auteurs étaient Croc et G. E. Ranne, désormais ce sont Rafael Colombeau, François Lalande, John Grümph et Pierrick May. Le jeu avait marqué son époque par son côté barbare sans complexe. Au départ excité par l'idée me voilà mitigé. Avis de vieux joueurs, « mouhahaha c'est top, on est ...