Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : romaine (25)Carthago Delanda est Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématieromainedans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. (...)
Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profo,de et parfois tumultueuese de la structure sociale. Le fossé entre la classe diriganteromaine, toujours plus riche (noblesse patricienne) et le reste du peuple s'accentua, avec la création de vastes domaines (latifundia) employant une main d'oeuvre d'origine étrangère. (...)
Préambule historique : La troisième guerre punique (149 - 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématieromainedans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. (...)
L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. Le fossé entre la classe dirigeanteromaine, toujours plus riche (noblesse patricienne) et le reste du peuple s'accentua, avec la création de vastes domaines (latifundia) employant une main d'oeuvre d'origine étrange. (...)
Issu d'une famille de riches commerçants, son enfance est consacrée à l'apprentissage des choses de la guerre, et de la politique, son mentor étant Caius Marius, personnage haut en couleurs de la politiqueromaine. Il prend tr s vite son destin en main, et monte à grande vitesse les échelons du parti des populares, jusqu'à devenir Tribun, il y a à peine deux ans. (...)
Profitez de cette orgie pour mettre vos investigateurs dans l'ambiance de la Rome Antique, avant de passer à l'événement imprévu de la soirée : l'assassinat du tribun. Insistez sur le déploiement de richesse et de luxe, le symbole de la puissanceromainesur tout le monde antique. L'orgie se déroule fort normalement jusqu'à une heure avancée, et les invités commencent à déserter la salle principale de l'atrium et les jardins de la propriété, pour regagner, en titubant, leurs propres demeures à Rome. (...)
Si la secte carthaginoise échoue à l'assassiner, il sera le meilleur soutien que les investigateurs pourront avoir pour leur enquête tant à Rome qu'à Carthage (où il a gardé de nombreux contacts). Caius Atilius : Architecte de la victoireromainecontre les Séléucides il y a quelques décennies, et au début de sa carrière aide de camp du grand Scipion Emilien lors de la chute de Carthage, Caius Atilius est maintenant un vieillard rondouillard et vaniteux 'gé de plus de soixante ans, qui ne s'intéresse plus qu'aux plaisirs. (...)
Laevinia Scaeva : Issue d'une des plus prestigieuses familles patriciennes, Laevinia Scaeva se passionne pour la littérature grecque etromaine, et à l'occasion de le faire en réunissant un cercle de brillants esprits (au premier chef le petit fils de Caton l'ancien, disparu avant le début de la dernière guerre punique). (...)
Après écoute, les consuls ordonnent que les enquêteurs se déplacent à Carthage, pour mettre en échec le complot contre la RépubliqueRomaine. A la recherche d'Antoninus (12 Avril Soir à 13 Avril Matin) : Le tribun Marcus Venitius laisse en mourant un fils, Antoninus, qui s'est particulièrement lié d'amitié avec plusieurs des aventuriers, dont Rufus le gladiateur. (...)
C'est dans ce quartier qu'ont été construits des temples dédiés à des divinités mineures de la religionromaineou secrètement à des dieux de la religion carthaginoise. - Le quartier haut (appelé aussi Byrsa) : avec des demeures luxueuses, du style de celles construites à Rome. (...)
A la recherche d'Helyodès : Le tribun assassiné parlait de la destruction de Carthage comme condition sine qua non pour empêcher la destruction et la fin d'un monde. Il a raison, mais ce n'est point la Carthageromainequi menace, mais au contraire l'ancienne Carthage qui avec ses armées et sa ferveur envers Moloch Baal qui mit en danger le monde antique. (...)
Les aventuriers sortent donc, et se retrouvent dans la Carthage punique, avec au loin la citadelle des Barcacides, en parfait état (un petit jet de SAN s'impose !). La ville se réveille, et les habitants commencent leur activité du matin. Aucune traceromaine, et encore moins de présence grecque (mis à part Helyodès, considéré comme un vieil original). (...)
Trois options paraissent envisageable, et c'est à vous de favoriser l'une de ces options (ou de les combiner) : - la fuite au profit d'une ruse (peut Etre en distrayant ou en séduisant les gardes) : Si leur plan d'évasion est ingénieux, et si fascinés par leur courage, les dieux décident d'influer en leur faveur, ils ont peut Etre une chance sérieuse de s'échapper du palais et d'alerter la légionromainede Carthage pour nettoyer ce trou à rats. Décrivez leur un vaste complexe de tunnels et de salles secrètes, truffés de pièges mortels, avec par exemple la salle mortuaire d'Hannibal, un temple secret dédié à Moloch Baal et Hammon Baal (le dieu protecteur de la Carthage punique), où Marhabal sera inévitablement rencontré. (...)
Injuriant les aventuriers, les traitant de sous race ne méritant que l'esclavage, il donne ses ordres aux gardes d'emmener les prisonniers vers la surface, et plus précisément vers G'harne. - l'intervention de la légionromainebasée à Carthage : avec un siège en règle de la forteresse. Les soldats s'introduisent par force dans toutes les entrées possibles. (...)
Ils mettront par conséquent tout en oeuvre pour fuir vers G'harne (encore appelée Athilea). Mais la légionromainene peut Etre d'aucun secours aux aventuriers si ces derniers ne font rien pour s'enfuir. Dans ce cas, embrayez directement su r le dernier paragraphe à G'harne. (...)
Athilea la cité perdue : Malgré la longue traversée du désert, ce voyage ne devrait pas poser trop de problèmes, du moment que les aventuriers pensent à organiser correctement leur voyage dans le désert (vivres, eau en suffisance). Mais ce voyage peut Etre aussi effectué en compagnie de la LégionRomaine(aucun problème de déplacement ou de ravitaillement), ou en compagnie des sectateurs (de nombreux problèmes de déshydrations ou d'alimentation, car les Carthaginois ne sont pas propices à de bons sentiments envers les Romains). Dans ce dernier cas, la LégionRomainen'est pas loin, et interviendra au moment le plus propice pour libérer les aventuriers. Des grandes ruines formés de blocs cyclopéens (en basalte, en granite ou constitué de métal luisant) émergent de ceci de l' du désert. (...)
Selon ce qui s'est passé à Carthage, les aventuriers sont soit prisonniers (auquel cas ils ont l'opportunité de se libérer avec l'intervention de la légionromainecommandée par le tribun Publius Septer Optimius), soit ils sont libres (et sont rejoints par la légion avant de pénétrer dans le temple). (...)
Préambule historique : La troisième guerre punique (149 - 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématieromainedans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. (...)
L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. Le fossé entre la classe dirigeanteromaine, toujours plus riche (noblesse patricienne) et le reste du peuple s'accentua, avec la création de vastes domaines (latifundia) employant une main d''uvre d'origine étrangère. (...)
Issu d'une famille de riches commerçants, son enfance est consacrée à l'apprentissage des choses de la guerre, et de la politique, son mentor étant Caius Marius, personnage haut en couleurs de la politiqueromaine. Il prend très vite son destin en main, et monte à grande vitesse les échelons du parti des populares, jusqu'à devenir Tribun, il y a à peine deux ans. (...)
- Des pensées surgira la rédemption, car le fou, le tribun et l'esclavagiste sont les trois facettes d'une même entité (= la dominationromaine). - De victoire il n'y aura pas. Un immense triomphe découlera des jeux. - Des femmes bien dévêtues jaillira la dévotion, la volupté, la connaissance, ainsi que la victoire aux Jeux. (...)
Il passe ses nuits dans les réceptions officielles ou dans la domus privée de Galla Placidia, pour y évoquer plaisirs et affaires politiques (contre les populares, en faveur de Sylla). Galla Placidia : grande matroneromaineétablie à Athènes depuis plus de vingt années, cette dernière en impose par ses robes luxueuses et ses parfums d'orient, mais c'est véritablement une vipère dans un bat de soie. (...)
Adroclès : un marchand en vins et spiritueux, âgé d'une quarantaine d'années, au crâne dégarni et vêtu d'une toge à laromaineet de sandales. Il dispose d'une importante latifundia à Athènes, ainsi que bon nombre de serviteurs et d'esclaves. (...)
Dans le labyrinthe Une partie significative du palais est actuellement occupé par le gouverneur Honorus Galla, l'administrationromaine, la légion, de vastes bibliothèques (le tout sur plusieurs étages). Une autre partie est réservée au culte des dieux (principalement Héra, mais aussi Apollon). (...)