Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : démons (5)(...) Si dans tout Jazîrat on sait que l'Aramla El-Nar est dangereux, à Yasminabad on en est plus convaincu que partout ailleurs. La proximité de la terre des gouffres où vivent les cyclopes et d'où s'enfuient bien desdémonsen est la cause principale. L'école enseigne le combat autant que la magie, et ses représentants sont rompus à la chasse à l'étrange, aux combats de l'extrême. (...)
Ecole Jidar al'iblis Dans le principe très proche de l'école des gardiens des gouffres de l'Al-Alaeddine, Jidar al'iblis se veut gardienne des portes infernales. Elle enseigne l'art de la chasse auxdémonset aux mauvais djinns et construit des avant-postes partout dans le monde à proximité de ce que l'on considère comme des portes vers les enfers ou vers des lieux d'où sortent régulièrement toutes les créatures capables de ternir la beauté du monde créé par les dieux. (...)
Selon les principes de l'école, il s'agit là des meilleures armes pour lutter contre l'horreur et le désespoir : se réchauffer l'âme. A la fois fonctionnaires de la chasse auxdémonset bons vivants coutumiers des nuits d'ivresse et des orgies, ils sont en réalité très éloignés de leurs cousins de l'Al-Alaeddine. (...)
On dit que certains de ces gouffres sont si profonds qu'ils vont jusqu'aux domaines infernaux. On dit que de nombreux spectres etdémonss'y terrent, attendant des proies humaines. Nombreuses sont les créatures qui tombent sous les coups des veilleurs yasminabadi, de l'école Jidar al-iblis ou de celle des gardiens des gouffres, mais certaines parviennent à passer outre la vigilance des hommes et à s'échapper sur Jazîrat. (...)
Devenu kahini au terme du sacrifice de son épouse, le disciple part en pèlerinage dans les galeries souterraines qui relient les plus profonds des puits du désert des gouffres. Là, au milieu des spectres et desdémons, dans ce que l'on prétend être l'un des enfers les plus proches du monde des vivants, il doit retrouver son aimée et la ramener à Yasminabad. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...