Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : remparts (7)(...) Le troisième côté, celui qui est orienté vers le sud et vers l'est, est dévoué à l'étude des mystères du désert et à la protection de la ville. Villages autour de la ville, lesrempartsabritent les administrations de l'Al-Alaeddine, mais aussi les al-kimiyati, élèves et professeurs, et tout le personnel qui les entoure. Considérés comme des nobles en la place, les al-kimiyati vivent dans leursrempartscomme dans des palais, avec le luxe permis par leur condition, leurs fonctions, et surtout par les rigueurs de la région. (...)
Aménageant les toits de leurs bâtiments, ils ont créé un caravansérail aérien, à même les terrasses desrempartsde leur palais. Ce qui de loin semble fait de bric et de broc est en réalité un espace de vie extrêmement organisé, avec ses passerelles, ses villages de tentes, ses monte-charges et sesrempartsde voile protégeant des vents du désert. Au sol, les quartiers bordant les palais - ou plutôt les étables et les écuries - de cette école, sont des quartiers populaires où se côtoient de nombreuses communautés étrangères. (...)
Dans l'Al-Lakhdar, les membres de cette école logent près du palais ou dans les quartiers bordant lesremparts, deux zones de la ville dont ils ont la responsabilité. Près du palais, ils côtoient d'autres nobles, des artistes et de riches marchands. Près desremparts, ils sont au milieu des soldats, des mercenaires, des artisans et des camelots. Ecole Jidar al'iblis Dans le principe très proche de l'école des gardiens des gouffres de l'Al-Alaeddine, Jidar al'iblis se veut gardienne des portes infernales. (...)
Il ignore en revanche si les signes qui lui sont laissés pour décider ce cette attaque sont en sa faveur ou pas. L'école administre les quartiers populaires contenus entre la ceinture qui borde lesrempartset celle qui constitue les quartiers riches encerclant le palais, sauf sur le quart Sud placé sous la protection de l'école Jidar al'iblis. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...