Narcisse transi
sur La Cour d'Obéron au format (146 Ko)
Deux estions et n'avions qu'ung cuer S'il est mort, force est que devie, Voire, ou que je vive sans vie Comme les images, par cuer, Mort ! François Villon, extrait du Testament. Synopsis : Les PJ sont invités à un vernissage et à une "snuff party" organisée par le Prince. Tout le gratin branché de la Camarilla parisienne, mêlé à une sélection triée sur le volet d'artistes, de critiques et d'intellectuels mortels, se retrouve donc au cours de la soirée. Le Prince reste toutefois ...Contient : brujahs (6)(...) (Si les PJ ont l'idée saugrenue de filer les Anarques, ils ont intérêt à se montrer discrets, sans quoi lesBrujahsse retourneront contre eux sur le périphérique, occasionnant un carambolage monstre et provoquant une bagarre hyperviolente sur la chaussée. (...)
Au cours de la braillée qui a eu lieu en début de soirée, les vieilles rancoeurs contre les Anciens praxistes ou loyalistes qui ont sapé les mouvements révolutionnaires et participé à la mise à mort deBrujahspar le passé ont été ranimées... Une bande anarque - où se trouvent Petraskov et ses deux hégéries. (...)
Dans la cage d'escalier obscure, les PJ devraient entendre le fracas sporadique des armes automatiques, les échos des cris d'angoisse ou de souffrance des hommes de mains abattus et ceux des hurlements terrifiants desBrujahs. Pons parvient à gagner son bureau, à ouvrir son coffre et à en retirer la chemise contenant les papiers volés, mais il se fait acculer par les troisBrujahs. Armé de deux Glock 17, le dossier calé entre les dents, il est en train d'opposer un tir de barrage à ses adversaires lorsque les PJ débouchent au trentième étage. (...)
La disposition des lieux se prête à des combats d'embuscade, mais ni les cloisons ni les meubles bureautiques n'arrêtent les balles (tout au plus offrent-ils une protection de 1d6) - et l'une des techniques préférées desBrujahsest précisément le tir aveugle au travers des murs... Le chaos ambiant est aggravé peu après l'arrivée des PJ par le système anti-incendie qui, détraqué par la fusillade, se met en marche et brumatise tout l'étage dans une épaisse ondée d'eau froide. (...)
Au cours des épisodes sanglants qui ont agité la Camarilla parisienne - la Révolution, la Commune -, il est connu pour être resté au milieu des pires tueries et pour avoir affronté avec férocité les AnarquesBrujahs. Les Anarques l'auraient surnommé le Scorpion à cause de son style de combat, tout en feintes, esquives, dérobades et bottes inattendues. (...)