Le Guide de la Cité Médiévale Fantastique
sur Le Sablier Eternel au format (2.7 Mo)
Contient : riches (16)(...) Tout comme les artisans d'une même guilde, ils boivent ensemble, discutent ensemble, sortent ensemble et festoient ensemble. Généralement, les universités médiévales fantastiques sont des émanations privées derichesorganisations et de citoyens prospères. Les préoccupations urbaines : Taille et population : Les villes et cités médiévales sont petites, faisant habituellement moins d'un kilomètre et demi de diamètre et ne dépassant que rarement le millier d'âmes. (...)
La magie peut aider, mais le plus efficace reste l'utilisation de la pierre et de l'ardoise et la constitution de brigades anti-feu (qui ne sont en fait formées qu'en toute fin de la période médiévale fantastique). Malheureusement les constructions en pierre sont réservées aux plusriches, les quartiers pauvres devant, par nécessité, violer les lois anti -feu. Certaines villes encouragent le blanchiment des toits de chaume à la chaux vive qui les rend plus résistant aux flammes. (...)
La peste, pas plus que « la glorieuse incertitude du jeu », est aveugle quant à la richesse et à la position sociale comme dans la réalité historique. Toutefois, les gensrichesqui meurent de la peste peuvent revenir grâce à un sort de Soins des maladies suivi d'un sort de Réveil des morts. (...)
Si un magicien décède, la guilde assure alors l'enterrement et verse une pension à la veuve et ses enfants. Pour les membres suffisammentrichespour se permettent un retour, la guilde peut assurer le retour du membre. Dans les plus grandes cités aux guildes plusriches, la guilde des magiciens peut permettre l'accès aux installations de recherches, aux laboratoires, aux matériels spécifiques, et aux composants de sortilèges. Autrement, où est-ce qu'un magicien pourrait se procurer, sans risque, les écaille d'un dragon ? (...)
Celles-ci peuvent suborner assez de fonctionnaires administratifs pour maintenir la guilde dans les affaires et la plupart des membresrichesde la société ont assez d'argent pour payer leur protection. Même avec l'aide de la magie, il est certainement plus facile de cohabiter plutôt que de tenter de déraciner une organisation entière. (...)
Tout comme les aristocrates anglais de la fin du 19ème siècle face à la richesse de l'Amérique, les aristocrates des sociétés médiévales fantastiques considèrent ces nouveaux aristocrates comme des arrivistes ayant peu de raffinement et de scrupules quant à leurs méthodes d'enrichissement. Constituée derichesnégociants et d'autres habitants de la ville, l'aristocratie contient rarement des membres de la pairie. (...)
Une richesse facilement mobile, une rareté dans la période médiévale fantastique, donne puissance à son propriétaire. Cependant, même les familles trèsrichessont sujettes à la guilde. Même pour l'aristocratie, la puissance vient d'un groupe social et non d'une individualité. (...)
Les prêts obligatoires sont des prêts à la ville imposés à un négociant ou à un aristocrate par la force physique, ou la menace de retraits de privilèges spéciaux, de confiscation ou d'exil. Bien que cela implique des désagréments, la majeure partie des négociants et desrichesaristocrates payent leurs prêts forcés sans trop faire de difficultés. Ils gagnent même l'intérêt sur le prêt de la ville. (...)
La meilleure manière est de considérer les aventuriers de cette époque comme des mercenaires. Ils voyagent, louent leur épée et résolvent des problèmes pour des personnesriches. Certains effectuent également de bonnes actions, sauvant un village des orcs ou récupérant la fille du fermier dans le camp des gobelins. (...)
Il peut même y avoir des réseaux des banques dans les plus grandes villes, mais il faut se rappeler que de tels efforts sont des entreprises privées la plupart du temps gérées par des membres de l'aristocratie. Quand les banques prêtent aux rois ou auxrichespropriétaires fonciers, elles doivent aussi accepter les conséquences d'un mauvais prêt si elles espèrent continuer dans les affaires. (...)
Naturellement, elles ont mieux à faire... Les banques : Le monde bancaire dans le monde médiéval fantastique est une sorte d'affaire ésotérique gérée par les membresrichesde l'aristocratie. Les banquiers comptent surtout sur les lettres de change et beaucoup de marchands comptent simplement sur la reconnaissance de dette et leur réputation. (...)
Les banques médiévales fantastiques ne sont pas des banques au sens moderne du terme; elles sont des familles simplementrichesou un petit groupe de personnesrichesqui prêtent l'argent dans un endroit et gèrent l'argent emprunté dans un autre. Par exemple, un négociant emprunte l'argent pour acheter des marchandises dans la ville A qu'il transporte à la ville éloignée B. (...)
Ils peuvent également posséder quelques articles magiques de base (des breuvages magiques ou des articles magiques communs) s'ils sont derichesartisans dans une grande ville. Les artisans savent également certaines choses sur les familiers qui appartiennent généralement aux sorciers et savent aussi qu'un animal familier ne signifie pas systématiquement que la personne est un sorcier. (...)
Le bénéficiaire de cette somme n'est pas forcément un seul aristocrate. Par exemple, une petite ville peut se trouver sur les domaines de deux seigneurs qui sont desrichesmembres de la noblesse. Ces seigneurs ont donné une charte commune et reçoivent leurs obligations féodales dans la forme de paiements à l'année. (...)Introduction : De l'esprit et de la lettre de cette traduction Ce texte donne un bon aperçu des villes médiévales fantastiques. Il parle de l'organisation sociale, politique et géographique. Il s'agit en fait d'une traduction de l'extrait gratuit d'un supplément payant prévu pour D&D, donc pas directement lié à Warhammer. Cependant, beaucoup d'informations peuvent également servir à Warhammer, ce qui est la raison de cette traduction. Nous avons donc donner de temps a autre quelques renvois ...