Répertoire géographique de l'Arabie : Les Royaumes
du Désertsur Le Sablier Eternel au format (690 Ko)
Contient : sultan (55)(...) Bien que très nombreux, les royaumes d'Arabie peuvent être distingués en 4 catégories bien distinctes, suivant l'origine géographique et l'histoire du territoire : • le Sultanat et ses alliés : Il s'agit du grand royaume d'Arabie et des territoires qui sont restés fidèles au grandSultanrésidant à Zandri, la capitale du Sultanat. • Les Royaumes de Taïfas : On désigne ainsi tous les territoires qui furent un jour sous la domination duSultanmais qui ont profité de l'affaiblissement du pouvoir pour prendre (ou reprendre) leur indépendance politique. D'un point de vue religieux, tous ces royaumes restent sous la tutelle de l'autorité religieuse et législative suprême : Le Grand Imam de Zandri • Les Royaumes du Golfe de Mèdès : Situés au sud de la péninsule, ces royaumes ont toujours été indépendants vis à vis du Sultanat d'Arabie. (...)
• 165 : La religion d'Ormazd est imposée à toute l'Arabie. Seule les tribus nomades du Grand Désert échappent au contrôle duSultan. • 625 : Installation d'elfes des mers dans les îles au large de Kufra. La rivalité commerciale avec les jeunes cités arabes du littoral tourne vite à la guerre. (...)
• 1110 : Des navigateurs arabes s'installent sur l'île de Sartosa, occupée alors par quelques communautés de pêcheurs et de paysans. • 1185 : LeSultanEl Madzir commence à préparer une opération militaire d'envergure, visant à envahir l'Estalie et à y établir des comptoirs. • 1212 : LesultanDaryus El Qabir ordonne le début de la conquête de l'Estalie par les forces armées arabes • 1225 : Après de longs mois de sièges, la cité estalienne de Bilbali tombe aux mains de l'armée arabe. (...)
• 1342 : Après avoir occupé pendant près d'un siècle la quasi totalité de l'Estalie (à part le royaume de Magritta) les forces arabes débutent le siège de la ville bretonienne de Brionne • 1347 : Défaite de l'armée arabe en Bretonnie face aux forces commandées par Roland de Chinon • 1450 : Une armée conduite par leSultanJaffar envahit le royaume d'Astarios et prend Magritta. Seuls la citadelle et le port restent aux mains des Estaliens • 1452 : La reprise de Bilbali par les armées estaliennes sonne le début de la Reconquista. (...)
• 1457 : Magritta est reprise par l'armée d'Astarios • 1552 : Après deux années de guerre, les pirates arabes sont expulsés de l'île de Sartosa par la cité de Luccini. • 1666 : LeSultanMuhamat V organise une campagne victorieuse dans les Badlands contre les clans gobelinoïdes • 1712 : Raid et installation de troupes arabes de l'Emirat de Teshert dans les principautés frontalières. (...)
Le grand Sultanat d'Arabie est ruiné par des siècles de guerre. Les provinces de Al-Haïkk de Ghafsa et de Kufra décident de faire sécession. LeSultan, Khali III, ruiné, ne peut que prendre acte. Cette Sécession a été appelée le « mouvement de Taïfas » • 2090 : Le culte de Sangrif devenant trop populaire, les autorités de Zandri décident d'interdire ce culte. (...)
• 2298 : Des raids gobelinoïdes détruisent de nombreux villages dans le Califat d'Ashur. • 2317 : Sous le règne duSultanAlmar El Saïd « l'Incompétent » une demi douzaine de provinces déclarent leur indépendance vis à vis du grand Sultanat. C'est le second mouvement de Taïfas. • 2347 : L'Imam Ibn Jubar et lesultanAl Mansur parviennent à réaffirmer la prééminence du Sultanat d'Arabie sur tous les royaumes de la péninsule. Ces derniers, bien que restant indépendants, acceptent d'être inféodés auSultanet au Grand Imam en matière religieuse et militaire. • 2439 : Une communauté de Mudjahids installe une colonie près du lac Assoun, dans les Badlands. (...)
Vers 2100, une guerre de religion éclata entre le sultanat et les adeptes d'une nouvelle religion , celle de Sangrif. Cette guerre fut remportée par leSultanmais en 2510 encore, les adeptes d'Ormazd s'opposent encore violemment à ceux de Sangrif. Alignement : Neutre, selon les critères arabes, mais Loyal selon les critères du Vieux Monde. (...)
Jours sacrés : Il n'y a qu'un seul jour sacré dans le culte de Sangrif : il s'agit du premier jour de l'année, en souvenir du début de la guerre contre les royaumes du Vieux Monde (la légende raconte que ce serait Sangrif qui aurait incité leSultanEl Qabir à déclencher cette guerre). Amis et ennemis : Le culte de Sangrif n'a pas d'ennemis autres qu'Ormazd. (...)
leur présence dans ces régions est liée aux ruines des civilisations antiques qui s'y trouvent. Les Landes de la Mort sont réputées être le refuge des nécromants. En 2368, l'armée duSultanfut envoyée en expédition dans ces landes car plusieurs villages frontaliers avaient été attaqués par des armées mystérieuses. (...)
Les petits délits sont rarement jugés par des hommes du culte d'Ormazd car une véritable armée de bureaucrates, au service de l'Emir ou duSultan, se charge d'expédier ces petits procès. On appelle ces hommes les « juges de paix » : ce sont des laïcs qui ont reçu une formation de juriste et qui sont au service de l'autorité temporelle. (...)
Il n'est pas rare qu'un prévenu doive attendre de longues semaines dans un cachot avant que l'Imam ait pu réunir tous les juges qu'il avait désignés. La dernière juridiction d'appel est celle du GrandSultanlui-même. Seuls les personnages influents peuvent faire appel à ce jugement car il coûte en moyenne 1000 à1500 Dinars (entre 350 et 500 Couronnes). (...)
) 44ème verset : L'homme qui tue, ou tente de tuer, un clerc d'Ormazd ou un représentant de l'autorité temporelle du GrandSultansera condamné à l'écartèlement. 45ème verset : Toute profanation de tombe est punie par écartèlement. (...)
48ème verset : Toute personne convaincue de pratique du culte interdit de Sangrif sera condamnée à la décapitation sur la place publique (...) 61ème verset : Toute homme convaincu de traîtrise envers le GrandSultandoit être écartelé. Ces complices seront condamnés à l'esclavage. 62ème verset : Tout soldat régulier coupable de désertion ou de mutinerie sera puni de trente coups de fouet et mis en esclavage (. (...)
Cependant, l'ensemble des tribus nomades échappe à cette sévérité car il existe une tradition de tolérance envers les peuplades du désert, en raison des services rendus à la nation arabe par ces dernières (escorte des caravanes de marchands, lutte contre le brigandage, participation à l'armée duSultan...). Le culte d'Ishraïm, par le biais des esprits-servants est toléré, bien que sa pratique soit interdite dans l'enceinte des villes (plus de détails sur ce culte seront donnés dans le chapitre consacré aux tribus nomades). (...)
Ces hommes forment l'élite des combattants de l'Arabie et sont la garde rapprochée de nombreux Emirs ou Imams. Le GrandSultanluimême est protégé par un corps d'un cinquantaine de guerriers kamaluk : La Garde Noire duSultanLes plus grands marchés aux esclaves se trouvent dans les grandes villes portuaires du Nord de l'Arabie. Ainsi, la cité pirate d'Al Haïkk abrite le plus important marché aux esclaves de toute l'Arabie, de riches propriétaires venus de toute la péninsule y font leurs emplettes Type d'esclave Origine Prix moyen : Esclave robuste destiné aux travaux manuels Arabie 350 D Esclave robuste destiné aux travaux manuels Terres du Sud 450 D Esclave robuste destiné aux travaux manuels Vieux Monde 250 D Belle femme Arabie 1500 D Belle femme Vieux Monde 2000 D Esclave lettré ou scientifique Toutes origines 800 D Esclave destiné à devenir gladiateur Toutes origines 1000 D Esclave destiné à l'artisanat Toutes origines 600 D Esclave destiné aux galères Terres du Sud 400 D Esclave destiné aux galères Arabie 300 D Esclave destiné aux galères Vieux Monde 250 D Très jeune esclave Toutes origines 200 D Vieil esclave ou estropié Toutes origines 100 D. (...)
1 Couronne = 3 Dinars. 1 Dinar = 6 Pistoles et 8 sous. Les Dinars sont des pièces d'or frappées du portrait duSultanDaryus El Qabir (qui ordonna la conquête de l'Estalie). Les Dirhams apparaissent, eux, sous la forme de larges pièces d'argent. Le Rial est une petite pièce faite d'un alliage de fer et de cuivre. Auparavant, seul le GrandSultanavait le droit de frapper monnaie mais depuis les mouvements de Taïfas (l'indépendance de nombreuses provinces) d'autres royaumes ont acquis ce droit : Le califat de Kufra, l'émirat d'Al Haïkk et le califat de Ghafsa. (...)
La civilisation arabe est religieuse et guerrière et ces deux caractères sont étroitement liés. C'est au nom d'Ormazd que leSultanDaryus El Qabir ordonna la conquête du Sud du Vieux Monde. D'une manière générale, on peut distinguer trois types d'organisations à l'échelle des Emirats et des Califats : Les états qui ont une armée de métier recrutée dans le territoire et renouvelée régulièrement par enrôlement (c'est le cas du Sultanat d'Arabie et de quelques royaumes du nord) Les états qui ne possèdent qu'une faible force armée régulière et qui font appel à la mobilisation en cas de besoin (c'est le cas de la plupart des royaumes du sud de la péninsule) Les états qui n'ont qu'une faible armée régulière et qui enrôlent de manière permanente des corps de mercenaires venus de toute l'Arabie, parfois des Terres du Sud ou même du Vieux Monde (c'est le cas des riches royaumes des côtes du Nord de l'Arabie). Le pouvoir militaire du GrandSultan: Lesultandu royaume d'Arabie (Hacène El Qabir en 2510) possède un pouvoir militaire très important en Arabie. Il commande tout d'abord à la force armée la plus importante de la péninsule : plus de 7 000 soldats forment les troupes de défense du Sultanat.. LeSultanest ensuite le propriétaire de la plus importante flotte de guerre d'Arabie (concurrencée par l'Emirat d'Al Haïkk) formée d'environ 150 vaisseaux (la plupart sont des galères ou des galéasses : galères possédant un pont supérieur au-dessus des rameurs). Depuis quelques années, l'effort de guerre dusultanle pousse à faire construire des galions, plus efficaces et mieux armés, mais il accuse dans ce domaine un retard très important face aux forces maritimes du Vieux Monde (le royaume d'Astarios et les cités tiléennes en particulier). LeSultanpeut également faire appel aux forces armées des principautés arabes indépendantes en cas de conflit concernant l'ensemble du monde arabe. (...)
Un accord prévoit de façon précise le nombre de soldats que chaque royaume doit mettre à la disposition dusultanCet accord est le Pacte d'El Mansurah de 2347. Ce pacte prévoit les cas de forces majeures pour lesquels la participation de l'ensemble des royaumes à l'effort de guerre est requérable : • Agression d'un royaume par une force étrangère au monde arabe (seulement si le royaume agressé en fait la demande). • Djihad (guerre sainte) demandée par l'Imam et leSultancontre une nation étrangère ou une région rebelle au culte d'Ormazd. • Expédition militaire contre les forces gobelinoïdes de l'Est de la péninsule. (...)
En réalité ce sont trois familles plus ou moins liées qui prétendent à cette filiation. En 2512, lesultanest Hacène El Qabir, qui règne depuis 20 ans (il en a 45). La vallée du Grand fleuve (et en particulier le delta), abrite l'essentiel de la population autour de 2 grandes villes : Zandri, capitale du royaume, et Siwa. (...)
Sur ce littoral, une seule ville se distingue par son importance, le port de Kaman-Sala qui abrite une grande partie de la flotte de guerre dusultan, ainsi que des chantiers navals d'importance. il est à signaler que l'Oasis de Mendaï (situé à 200 km de la vallée du Grand Fleuve) abrite une ville sainte d'environ 5 000 habitants. (...)
Cette ville aux murailles hautes et blanches est dominée par un immense temple dédié à Ormazd : Cette construction longue de 200 mètres, large de 100m et haute de 15m est située sur une colline au centre de la ville, sur laquelle se trouve également un immense Ribat. Au pied de cette colline se trouve le Grand Palais duSultan, entouré d'un parc irrigué 24h/24. La propriété est gardée par des guerriers Kamaluk. Le reste de la ville fourmille d'une activité intense, les marchés sont nombreux et les rues étroites et ombragées sont encombrées d'étales diverses. (...)
Toujours dans le même quartier se trouve l'immense salle où sont enregistrés tous les paris liés aux courses ou aux combats. Ce bâtiment est presque aussi bien gardé que le palais dusultan. Le quartier des jeux jouxte celui des écoles : on y trouve 5 écoles et pas moins de trois cours préparatoires (dont un réservé à la noblesse). (...)
La plupart des quais sont construits en pierre et leur capacité d'accueil est énorme (plusieurs centaines de navires). Le port se divise en 3 parties distinctes : Tout d'abord le port de guerre duSultan(abritant une partie de sa flotte). Cette partie du port est entourée de hauts murs et gardée nuit et jour. (...)
On y trouve, outre les appartements du gouverneur, le siège de la garnison (forte de 500 hommes) commandée par le général Zhur. Le quartier du port de guerre est directement sous la tutelle de l'armée dusultan(et abrite d'ailleurs les quartiers d'un régiment). Les temples d'Ormazd sont petits pour la taille de la ville. (...)
Kaman Sala : Situé 150 km à l'Ouest du delta du Grand Fleuve, le port de Kaman Sala se distingue des autres petits ports de pêche du littoral : Sa situation au fond d'une crique aux eaux profondes et bien abritées en a fait un port stratégiquement important pour la flotte de guerre dusultan, dont une partie y est amarrée. Un chantier naval y a été construit pour réparer les galères et galions. (...)
L'Emir Abdallah dirige ce territoire et se reconnaît officiellement comme vassal de son grand voisin leSultan. Les principales villes de l'Emirat de Teshert : Teshert : C'est la capitale de l'Emirat (et la seule grande cité : 35 000 habitants). (...)
Bien qu‘étant situé en bordure de mer, Teshert ne possède pas de grand port de commerce comparable à celui de Siwa (situé à moins de 50 km). Néanmoins, un port de pêche a été construit en contrebas des murailles de la ville et en 2490, lesultany a fait construire des quais pouvant abriter les galions et les galères de sa flotte de guerre (flotte de guerre dont est dépourvu l'Emirat de Teshert). (...)
L'Emir a sous ses ordres environ 500 soldats et une vingtaine de galères de guerre, basées dans le port de Mèknès. L'Emir Abdula est sans doute l'allié le plus puissant du grandSultan. Outre la mer, l'autre richesse de l'Emir est la présence de carrières de pierre blanche presque inépuisables, à environ 50 km au sud de Mèknès. (...)
Ces quais de pierre blanche peuvent accueillir de très nombreux navires de fort tonnage et ses chantiers navals (les seconds d'Arabie après ceux de Al Haïkk) sont très réputés. La plupart des navires de guerres duSultansont sortis des chantiers navals de Meknès. La cité est la seule avec celle de Baskra à posséder plusieurs cales sèches assez grandes pour équiper et réparer les plus gros galions du moment. (...)
L'intérieur des terres est plutôt désertique mais l'on peut y rencontrer des semi-nomades pratiquant l'élevage. Le souverain de ce territoire est l'Emir Tarik Haydar, vassal dusultanHacène El Qabir. Il règne en dictateur sur l'ensemble de l'Emirat, faisant régner une loi d'Ormazd très sévère. (...)
Aujourd'hui cette forteresse abrite les appartements de l'Emir et de sa famille et un Ribat où une cinquantaine de Mudjahids prient et s'entraînent. Un bâtiment accueille un régiment de l'armée dusultan. La principale activité du port est la pêche, le commerce du sel et de l'opium qui transite également par Zuwarah. (...)
Une partie du littoral de la baie est réservé à la flotte de guerre de l'Emir (une petite flotte composée d'une dizaine de galères) et accueille parfois les navires de l'armée dusultan. Le reste de la cité ressemble beaucoup aux autres villes d'Arabie : Ruelles étroites et ombragées, quartiers aux identités socioprofessionnelles très marquées, abondance de temples d'Ormazd, dont le principal est situé en face de la citadelle de Copher. (...)
Ce territoire a été le premier à obtenir son indépendance en 2032. Le contexte était alors catastrophique pour lesultanKahli III : Les dernières forces armées arabes avaient dû se retirer du Vieux Monde, le trésor duSultanétait vide. Cette perte était énorme pour le royaume d'Arabie mais Kahli ne put que prendre acte de cette déclaration d'indépendance faite par le Calife Imad Mawardi (un lointain cousin dusultan. En Arabie, portent le titre de Calife les personnes possédant, ou revendiquant, un lien de parenté avec les prophètes d'Ormazd). (...)
Cette richesse et la situation idéale de la baie d'Abu Hamed ont fait du Califat de Kufra une puissance maritime de premier ordre. La soixantaine de galions du Calife n'a rien à envier à la flotte duSultan. Puissance militaire, maritime et économique, le califat de Kufra a souvent suscité la jalousie de ses voisins au cours de l'histoire. (...)
La ville a également la particularité d'héberger derrière ses murs rouges une des plus célèbres écoles de gladiature de l'Arabie, dirigée par un ancien commandant de l'armée dusultan: Farid Tamin. La ville est dirigée par un intendant nommé par le calife : Firuz Kurban. Il commande la garnison municipale (150 hommes) et a la charge de la Grande Tour de Guet (Sorte de phare d'un dizaine de mètres de haut, entouré de remparts). (...)
Cette société violente, basée sur un mélange de piraterie, de commerce et de trafic d'esclave est dirigée par l'Emir Haroun Al Otman, un des hommes les plus riches et les plus puissants d'Arabie (certains prétendent même qu'il serait plus riche que lesultanlui-même). Pour garder le contrôle de ses sujets, l'Emir dispose d'une flotte de guerre puissante (plus de 50 galions lourdement équipés) d'une armée d'environ 500 soldats bien entraînés et d'autant de mercenaires. (...)
Mais les montagnards de Nejaz sont de valeureux combattants et leur connaissance de la montagne fait la différence. Le souverain de Nejaz est le Calife Ali Assoun Kadar (un lointain cousin du grandSultan). Il règne sur ses sujets en monarque éclairé et tolérant. Il est à signaler qu'en 2500 le calife a vendu un concession de mines de fer et de cuivre à une colonie de nains venue des Montagnes du Bout du Monde. (...)
Le Califat de Zoan : Le califat de Zoan est le plus ancien des royaumes de Durbaïta. Il fut fondé en 2160 par un cousin dusultanqui avait choisi l'exil plutôt que de renoncer à la divinité qu'il vénérait : Sangrif. En 2510, ce califat est en grande partie sauvage : Le nord Ouest du pays est une région de steppes et de savane tandis que la région sud-ouest, bordée par le fleuve rouge, est le domaine de la mangrove. (...)
De nombreux sorciers arabes viennent y parfaire leurs connaissances. Par le passé, les sorciers de Ka-Sabar ont souvent apporté leur concours auSultandans sa lutte contre les nécromanciens. En s'éloignant des rives du fleuve Rouge, l'émirat présente un visage de dunes à perte de vue :. (...)
Le Califat de Ashur : Front pionnier de l'expansion arabe, le califat de Ashur est le plus septentrional des royaumes d'Arabie. il fut fondé en 2290 par un des fils cadet duSultanAli Al Musafir. Ce territoire fut conquis en chassant les derniers trolls du désert qui vivaient dans la région, puis en chassant les gobelinoïdes qui vivaient sur les premières pentes des Montagnes du Monde. (...)Présentation générale de la péninsule arabique : Un territoire aride et peu accueillant L'Arabie reste aux yeux des habitants du Vieux Monde une terre étrange, pleine de mystères et de dangers. Cette terre aride est aussi connue sous le nom de Grand Désert du Sud. Et cette réputation n'est pas usurpée : ce territoire plus grand que l'Empire bénéficie d'un climat extrêmement chaud et sec en plaine. Le climat des montagnes d'Arabie n'est guère mieux : Il est aussi sec que glacial. Mais l ...