Emeutes
sur Les Alchimistes au format (8.9 Mo)
Ce scénario a pour toile de fond les émeutes françaises de 2005, celles qui ont chamboulées les banlieues. L'action a lieu à Strasbourg dans les quartiers du Neuhof et de la Meinau. Les évènements ont été légèrement modifiés afin de pouvoir s'intégrer dans l'univers de Kult. Au cours de cette intrigue, les joueurs recherchent des enfants disparus dans le chaos de la révolte, ils découvrent peu à peu le vrai visage de ces quartiers et vont mettre à jour l'innommable. Ce scénario est ...Contient : temps (13)(...) Elle traîne son chariot remplit de vêtements et de jouets usagés et cassés. Si les joueurs l'interpellent, elle leur parlera de manière totalement désordonnée : du mauvaistemps, de l'orage qui s'approche, des voitures dangereuses, du chantier du tram, des immeubles que la ville va détruire, de son fils qui a disparu il y a 10 ans et dont personne ne se souvient, de ses maladies. (...)
La Police : Ils peuvent chercher à joindre le Commissaire Schmitt, ils apprendront que celui-ci s'est suicidé quelquestempsaprès sa démission. Les Dernieres Nouvelles d'Alsace : Chez Nathalie Paquin, les joueurs vont apprendre quelques légendes urbaines et pourront se renseigner sur la suite de son article, celui effacé. (...)
Elle pourra intervenir dans le scénario si les joueurs patinent et s'ils ont besoin d'aide. Ces recherches doivent prendre dutemps, l'intéressant ce serait que les joueurs aient le maximum d'informations concernant les légendes urbaines avant le 31 octobre. LEGENDES URBAINES : Ces légendes sont invariables entempsordinaires excepté la 7. Cependant, elles vont toutes devenir réels lors de la conjonction entre la violence des émeutes et la nuit de Samain (la nuit du diable, halloween). (...)
* Les rues sont quasiment vides, les gens regardent depuis les fenêtres, des visages voilés de blanc, des cris detempsentempsviennent des immeubles. * On peut voir des gens sur les toits des immeubles. * Des jeunes, visages couverts, circulent dans les rues en roller-blade armés de barres de fer, ils chassent les chiens errants faméliques, les rétroviseurs, ils chercheront à impressionner les joueurs. Impossible de voir leurs visages, ils arborent des tee-shirts avec des symboles étranges (cabalistiques). (...)
Ils se sont installés à l'intérieur. * Une odeur de brasier s'est installée, la chaleur a monté, detempsà autre, des nuages noirs, asphyxiant et aveuglant, traversent les rues. * Les corbeaux freux sont très agressifs, ils attaquent les chiens et les chats et menacent les joueurs. (...)
La poussière a envahi les lieux, ainsi que les insectes, la végétation, ... L'électricité ne fonctionne plus et toutes les pièces sont hantées par les rires d'enfants, les cris, les pleurs... Les fantômes ne sont pas visibles, ils ne sont que bruit et detempsentemps, ils renversent ou projettent des objets. Les joueurs sentent des mains les agripper, des doigts les toucher, bref de quoi les déstabiliser. C'est l'endroit qu'ils devront traverser pour atteindre la cabane du gardien Miro Blenka qui lui, s'éclaire à la bougie dans une toute petite pièce pleine de journaux. (...)
La salle de bain est surchauffée. Elle ne se souvient pas des enfants, elle ne les voit pas, ils doivent être « hors dutemps», « retenus contre leur volonté dans un monde où leur souvenir n'est plus », ils doivent « ouvrir les portes », trouver pour « ne pas oublier ». (...)
L'OUBLI : C'est l'endroit où échouent tous les déchets de l'âme, tous ceux que les gens oublient consciemment ou inconsciemment. Une zone hors dutempsoù les souvenirs sont broyés par les rouages infinis de la Machine qui fait tourner l'Illusion. (...)
Après 10 minutes comme ça, faites apparaître Nathalie à leur côté. Pour faire réapparaître la porte, il faut prononcer le nom du Ferrailleur en mêmetempsque tous les noms et la porte s'ouvrira à nouveau. L'Oubli : Pour ouvrir le passage qui mène à l'Oubli, les joueurs doivent retourner chez Nathalie avec au moins un des Ferrailleurs, qui pourra utiliser son talent de lecture des runes pour ouvrir le passage. (...)
Elle est la Mère dans toute son ambiguïté : celle qui donne la vie, c'est-à-dire qui façonne l'élan premier pour lui donner forme, mais aussi celle qui donne la mort, toute limitation du divin étant voué à la destruction. Cette restriction de Chokmah en Binah marque la naissance duTemps. La ligne, canalisée, se façonne et devient triangle. La deuxième dimension apparaît et, avec elle, les prémisses de la finitude. (...)