JdRP Aides de Jeu : Les Cités franches
(...) Le but et d'avoir un petit aide mémoire qui permet de fournir aisément les informations essentielles aux joueurs. Si vous dites 'Bejofa est la cité des voleurs' l'information essentielle s'y trouve. Si vous ajouter qu'elle se trouve à côté de Samarande, mais que les deux cités sont séparées par le fleuve Sahar, alors les joueurs commencent déjà à imaginer Bejofa et à la situer. Et un petit détail peut venir compléter l'atmosphère : le fleuve Sahar est en crue et le quartier de la pointe de la flèche est inondé. Ou alors son niveau est anormalement bas et des dockers ont disparus. Il ne faut donc pas tout savoir sur toutes les cités. Par contre, il est vivement conseillé de faire de Samarande une cité qui en vaille la peine. A près tout c'est la que les joueurs passent la plus grande partie de leur temps. Introduction : Les sept Cités franches forment ce que l'on appelle la Principauté. Pour beaucoup de Citoyens ce qui se trouve à l'extérieur de la Principauté est inconnu et ne vaut certainement pas la peine qu'on s'y intéresse. Samarande : Samarande est la plus grande et la plus ancienne des Cités de la Principauté. On y trouve de tout et elle constitue donc un endroit idéal pour le voleurs. Il faut savoir que le gouverneur de Samarande n'est autre que Eromë IV, le prince de la Principauté. Samarande est habitée par les Samaraniens et les Samaraniennes (c'est un détail, mais autant utiliser le terme adéquat plutôt que de dire les habitants de Samarande). Grâce à sa taille et à son port (le plus grand de la principauté), Samarande est une ville commerçante. Samarande est amplement décrite dans un supplément. Vous pouvez aussi jeter un coup d'oeil ici : A la découverte de Samarande. Elyath : Elyath est la cité sacrée, consacrée au culte de la Pensée unique. Le gouverneur est un des sept patriarches qui dirigent l'Arlamisme. En fait, Elyath est composée de deux cités : la Cité Sacrée et la Cité Seconde. La Cité Sacrée se trouve sur l'unique île du lac d'Elyath, la Cité Seconde se trouvant autour de ce dernier. L'île constitue un lieu symbolique car elle rappelle l'ancien emplacement de l'Elyath historique, rasée il y a environs 2000 ans. On parle d'Elyathais et d'Elyathaises. Qui dit cité sacrée, dit pèlerins ! Bref beaucoup d'argent. C'est grâce à la religion qu'Elyath vit, et elle vit bien. Notons que la Cité Sacrée est un lieu de pèlerinage et de prière, il y fait donc calme. Par contre la Cité Seconde est nettement plus mouvementée : on y trouve des pauvres comme des riches et surtout des représentants de toutes les religions et de toutes les sectes imaginables. Si vous voulez trouver un gourou c'est là qu'il faut aller. Askelane : Askelane est un bastion militaire installé sur une hauteur. C'est la cité militaire et son gouverneur est le Général en Chef des Armées de la Principauté. Les habitants sont les Askelans et les Askelanes. L'armée est omniprésente à Askelane : elle dirige la ville, elle y maintient l'ordre et elle la fait vivre. Même l'architecture reflète cette présence : les rues suivent un tracé rigoureux et géométrique. Notons la présence de quartier extérieurs à la Cité et à ses remparts. Ces quartiers extérieurs se sont implantés au fil du temps et suivent un 'plan d'urbanisme' anarchique. Antalia : Antalia possède une caractéristique que personne ne peut manquer : elle se trouve sur une île hors de la péninsule. C'est bien sûr une ville portuaire, mais aussi le port militaire de la principauté. Son gouverneur est donc le Grand Amiral de la Flotte de la principauté. Les militaires, comme à Askelane, sont au pouvoir. Antalia est habitée par les Anataliens et les Anataliennes (anciennement la ville s'appelait Anatalia). Antalia vit grâce à ses activités portuaires : construction de navires, entretien de la flotte, pêche et commerce. Djeddir : Djeddir est constitué de deux agglomérations : la Cité Khalère (intitulée ainsi du fait de son architecture khalère) et Djeddir-la-Grande. Cette dernière possédant une architecture de type umélorien. Malgré sa (très) mauvaise réputation, il existe quelques quartiers corrects à Bejofa. Ses habitants sont les Bejofards et les Bejofardes. Retenez l'insulte : 'Misérable Bejofard!!'