JdRP Scénarios : Le berceau des civilisations
Histoire : Il aurait été retrouvé près du Golfe de Géma des traces de civilisations anciennes. Hors la grande cité de Cantopani, et sa merveilleuse bibliothèque, rêverait de pouvoir posséder des documents, reliques ou autres objets de temps ancien. (...)
Cité de Fenga : * Faubourg des cartiers pauvres, ville haute : Emporter par la foule dense et pressée, L’un des PJ manque de se faire mordre ( teste de 6ème sens ) par un énorme molosse tenu en laisse par un Klotian. « Pouvez pas faire gaffe, vous auriez pus y laisser la main. Vire-toi de là, où je lâche mon Shalaurk siffleur ! ». La foule s’écarte autour d’eux. S’ils n’attaquent pas, le Klotian passe avec un air hautin et fière de lui. (...)
Le soleil se couchant il leur faut trouver une auberge. Alors qu’ils cherchent une auberge, un sifflement familier les alertes, un Shalaurk ! 5 hommes, 4 elfes blancs et le Klotian de tout à l’heure viennent de leur tendre une embuscade. Ils tiennent chacun un Shalaurk au bout d’une chaîne. Autant dire que seul la fuite est possible, s’ils tiennent à leur vie… S’ils fuient, fais leurs remarquer que les Shalaurk gagne de plus en plus de terrain. Mais à un carrefour, surgit un troupe de cavaliers Fengassien : Justaucorps jaune, pantalons bouffant bleu, cape et bote noires. Aussitôt ils s’occupent des Shalaurk et de leurs propriétaires. « Je ne sais qu’elle idée saugrenu à pu vous conduire dans ce cartier durant la nuit tombante ! sans notre intervention, ces créatures vous auraient probablement dévoré. De nuit, même les plus valeureux de nos soldats craigne de s’aventurer dans ce cartier. ». Les soldats les escortes jusqu’une bonne auberge où ils prennent le temps de faire une dernière pause avec eux. (...)
S’ils prennent le temps de discuter avec les soldats, le capitaine arioso, leur remet une carte de la région ( s’il est au courrant de leurs périple ). * Ville basse, cartiers riche et cartier des temples. Arrivé au cartier du temple et du gouvernement, on ne peut rater l’imposante battisse à la structure identique au pont séparant les deux cartiers. Sur place quatre gardes sont posté à l’unique entrée du bâtiment. (...)
Il est vrai que le sénéchal m’a beaucoup parlé de vous, dans sa lettre, mais bien peux de votre venue dans notre humble cité. J’ai cru comprendre que vous enquêtiez sur le passé du monde d’Akapan. A Fenga, il est un seul endroit où un érudit puisse trouver de quoi assouvir sa soif de connaissance. (...)
une troupe de rat s’est faufiler dans la bibliothèques et ronge tous les livres un par un. J’y est même lâché des shalaurk, mais ces prédateur, pourtant réputé pour leur férocité, se sont purement et simplement volatilisé ! (...)
Il n’a pas de titre, mais parle de temps lointain, avant même que Dieux et Satan n’apparaissent, vivait toutes sortent de créatures dont deux peuple d’elfes : Les chevaliers du grand Empire et les sorcier Sylvain. Un autre chapitre raconte l’ère de ruine et de misère qui succéda à la terrible guère d’Andaine. Malheureusement, aucun passage ne parle de l’histoire de cette bataille qui précipita les peuples d’akapan dans un enfer de feu et de sang. Kandaroth : C’est un village de bûcheron entouré d’une palissade de trois mettre de haut. (...)
Il non rien de gardes entraînés. C’est un village sale et sans intérêt. Sélartz : Elle est divisée en quatre quartiers : Le cartier des haut chapiteaux, domaine des marchants ; Le quartier des comptoirs, toujours grouillant d’une foule de badauds et de voyageurs capable de s’offrire le luxe de l’une des nombreuses et bruyantes auberges de la Grande Rue ; Le quartier des campements, enceinte close où loge l’armée ; Le quartier de la cour des miracles, situé à la lisière d’Andaine, endroit surpeuplé, fréquenté par tout ce que la ville compte d’aventuriers en quête d’actions de gloire, de coupeur de bourse, de voleurs de grands chemins, de marchants ruinés, de bûcherons désoeuvrés, de mendiants et de faussaires en tout genre… * Hauts chapiteaux : A moins de vingt mètres de hauts chapiteaux, l’un des quatre gardes posté à l’entré du vélarium s’approche d’eux : « Bienvenue, étranger ! Nintelhot, notre maître à eux vent de votre présence en notre belle cité. (...)
» Nintelhot est un homme d’un intelligence et d’une présence d’esprit fort développée. Il leurs parlera d’une cité en ruine, au nord ouest de la foret d’Andaine ;D’une créature aussi veille qu’Akapan, dans la foret d’Ordreth ;D’une construction cyclopéenne gravée de symboles étrange, connue sous le nom de Porte du levant ;D’un ermite dans la grande plaine, que l’on dit capable de prouesses dignes des plus grands enchanteurs. * Comptoirs : Toutes sortes d’ateliers d’artisans longent la piste qui traverse la ville d’est en ouest, et les échoppes des marchants qui débordent sur la chaussée, formant un labyrinthe inextricable de passages étroits. Dans ce type de cartier se presse une foule grouillante et bigarrée… * Coure des miracles : Ce n’est qu’un guéttot putride et contaminé par toute sortes de maladie. * Cartier des campements : C’est un régiment de soldats. Les Entrailles du Rovar : Au bout de quelques heures de marche sur le 1er flan des monts du Rovar, nos pj aperçoivent un tunnel suffisamment grand pour les laisser passer et surment traverser le Rovar par le chemin le plus court. (...)
La pièce semble être sans issue. Une voie résonne alors dans leur tête : « Dans la nuit des temps était Akapan. Ils y vivait des fées, des nains, des lutins, des elfes, … et tant d’autres espèces dont j’ai, au soir de ma vie oublier le nom et l’apparence. (...)
A cette époque furent tracés les premiers pentacles et lancées les premières incantations. En ces temps lointains, sous l’impulsion des hommes, le monde d’Akapan prospérait. Mais les enchanteurs assoiffés par leurs soif de connaissances et de pouvoir, commirent un première erreur. Certaines des créatures invoquées échappèrent à leur contrôle, brûlant d’un désir ardent de posséder les richesse d’Akapan ou d’asservir les âmes de ses habitants. Bien des années plus tard, comprenant enfin les conséquences de leur ignorance, mes maîtres placèrent le Monde d’Akapan sous la protection d’une créature qui dépassait en force, en intelligence et en bonté toute celle qu’ils avaient rencontré jusqu’alors. L’arche d’invocation fut bâtit et l’on écrivit le grimoire du Protecteur dans toutes les langue d’Akapan. Lorsque je devint maître dans l’art d’employer les sortilèges, les enchanteurs commirent leurs deuxième erreur. Au coeur de la foret d’Andaine était apparue une créature malfaisante dont ils sous-estimèrent la puissance. Elle asservissait tout ceux qui passait à sa portée et ils ne lui fallut que quelques années pour former une cohorte d’espions, de soi-disant émissaires qui parcourraient Akapan en annonçant à ceux qui voulait l’entendre qu’ils pourraient trouver tout ce que le coeur et leur chair on jamais désiré. Le pouvoir de séduction de ces hommes étaient tel qu’ils déclenchèrent une véritable exode. De tout les membres du conseil des enchanteurs je fut le seul à voter contre la guerre. Bouffis d’orgueil, et peut-être déjà corrompus par le pouvoir de notre ennemis, mes paires me condamnèrent à l’emprisonnement du long sommeil et placèrent mon corps sous la porte du levant, dans une prison immatérielle où rien, ni personne, ne pouvait m’atteindre. Un siècle plus tard je retrouvait la liberté pour connaître le désespoir. (...)
Des peuples et des villes avaient disparus sans laisser de traces. Dans la mémoire des hommes il ne restait qu’un très vague souvenir de Séleïte, la cité de la foret d’Andaines où une terrible bataille s’était déroulée. A l’heure où j’écrit ce testament, je lègue la chances pour tout nos descendant de trouver leur origine. Un jour viendra où un enchanteur passera sous l’arche de la porte du levant et, ce jour-là, ma dernière volonté sera exaucée. (...)
« Je suis stellianne, et voici mon domaine. Joigniez vous à moi pour vous reposer et me conter votre voyage. » C’est une Reine Fée. Séleite : Les ruines d’une cité faites de cristal et de verres s’offre à eux. Le glas d’une cloche brise le silence. Les ruines de Seleite semble s’animer de vie propre. Ils ont l’impression qu’une forme haute et sombre s’interpose entre ciel et terre, recouvrant la ville d’un dôme de noirceur. (...)
Une coquille brisée, Une sphère noire qui flotte dans l’air, attirant hommes et femmes qui passe à sa portée. Des bâtisseurs sous le joug, à l’ouvrage dans la forêt, qui construisent une ville : Séleite. Une guerre impitoyable qui opposait des chevaliers, des enchanteurs, des hommes vêtus de noir, et d’autres espèces. Certaines volait d’autres portait de longue barbes. Séleite, vaste champ fumant de ruines, jonché de cadavres. Enfin un millier d’années, le temps d’un battement de coeur, et de nouveau un oeuf tombant du ciel. Ceux qui on vu ces image, semble ne plus être les même au fond d’eux. Désormais, lorsqu’il auront une attitude agressive, il perdront 1 point de santé mental. Andaines : Ici tout semble corrompus, les tronc des arbres gris et lisses semblent pourrit de l’intérieur. (...)
Des millions d’insectes et de vers s’agite sur le sol. Un cratère de plus d’un kilomètres de diamètre trône au centre d’Andaines. Arriver au bord du gouffre les PJ sente leur muscle se bloquer et les paralyser, et esprit visqueux et froid s’insinue dans leur esprit. (...)
Mais je vous laisse un chance de sauver vos misérables vies. Préparez vous à rencontrer notre maître à tous, le Coeur de Haine. » . Une torpeur les submerge peut à peut. Ils se réveil sous un soleil rouge couleur de sang, dans une région déserte où règne une chaleur accablante. (...)
Il semble fait d’une matière solide, bien qu’un réseau de veinules rouges en strie la surface opaque. « Je suis le coeur. Je suis éternel. Je sais tout. Je vois tout. Je peux tout trouver et tout donner. Ouvrez vous à moi et je réaliserai votre souhait le plus insensé …» Test d’esprit pour remarquer que c’est un subterfuge. (...)
En traversant , ils se prennent 1D20 de dégât d’acide. Puis ils arrivent à une forme sombre et palpitante. Le Coeur de Haine ne peux éviter ni se protéger et inflige 1D20 + 30 automatiquement à chaque tour sur un joueur au hasard. Une fois le Coeur de Haine vaincu, tout disparaît comme si rien n’avait existé, et les PJ se retrouve en du cratère. (...)
Une fois le démon terrassé, les pages du grimoire tournent d’elles même, puis lorsque l’enchantement prend fin, ils découvrent un langage symbolique : les runes de la première école d’enchanteurs ! « Au levant appartient le désert, Au couchant le monde d’Akapan, Aux peuples d’Akapan, j’accorde ma protection. Sous la porte du levant, le protecteur apparaîtra. » A peine la lecture achevée, que le sol se met brusquement à trembler. (...)
« Je vous félicite, je vous doit bien quelques explication. Voici mille ans, l’orgueil des premiers enchanteurs fut à l’origine d’une guerre épouvantable qui décima les peuples d’Akapan ». En lisant ce grimoire tu m’a rendu ma liberté. Tu à racheté la faute de tes ancêtres. Pour la seconde fois de mon existence, je dois débarrasser le monde des forces maléfiques qui s’assemblent au coeur de la foret d’Andaines… à moins que tu ne l’ai déjà fait ! Tel est mon destin de Dragon Protecteur. Ils se sentent soulevés dans l’air à une vitesse vertigineuse. (...)
Peu de temps après, ils aperçoivent une cité suspendue au dessus d’un lac. Le Dragon n’est plus qu’un point à l’horizon. C’est la cité des premiers enchanteurs, ressurgie des flots après tant d’année d’oublie. Dans la nuit des temps etait Akapan. Ils y vivait des fees, des nains, des lutins, des elfes, et tant d’autres especes dont j’ai, au soir de ma vie oublier le nom et l’apparence. Arriva un temps ou une minorite d’hommes devinrent des conquerants assoiffés de victoires. (...)
A cette epoque furent traces les premiers pentacles et lancées les premieres incantations. En ces temps lointains, sous l’impulsion des hommes, le monde d’Akapan prospérait. Mais les enchanteurs assoiffes par leurs soif de connaissances et de pouvoir, commirent un premiere erreur. Certaines des créatures invoquees echapperent a leur controle, brulant d’un desir ardent de posséeer les richesse d’Akapan ou d’asservir les ames de ses habitants. Bien des annees plus tard, comprenant enfin les consequences de leur ignorance, mes maitres placerent le Monde d’Akapan sous la protection d’une creature qui depassait en force, en intelligence et en bonte toute celle qu’ils avaient rencontre jusqu’alors. L’arche d’invocation fut batit et l’on ecrivit le grimoire du Protecteur dans toutes les langue d’Akapan. Lorsque je devint maitre dans l’art d’employer les sortileges, les enchanteurs commirent leurs deuxieme erreur. Au coeur de la foret d’Andaine etait apparue une creature malfaisante dont ils sous-estimerent la puissance. Elle asservissait tout ceux qui passait a sa portee et ils ne lui fallut que quelques annees pour former une cohorte d’espions, de soi-disant emissaires qui parcourraient Akapan en annoncant a ceux qui voulait l’entendre qu’ils pourraient trouver tout ce que leur coeur et leur chair on jamais desire. Le pouvoir de seduction de ces hommes etaient tel qu’ils declencherent une veritable exode. De tout les membres du conseil des enchanteurs je fut le seul a voter contre la guerre. Bouffis d’orgueil, et peut-etre deje corrompus par le pouvoir de notre ennemis, mes paires me condamnerent a l’emprisonnement du long sommeil et placerent mon corps sous la porte du levant, dans une prison immaterielle ou rien, ni personne, ne pouvait m’atteindre. Un siecle plus tard je retrouvait la liberte pour connaitre le desespoir. (...)
Des peuples et des villes avaient disparus sans laisser de traces. Dans la memoire des hommes il ne restait qu’un tres vague souvenir de Seleite, la cite de la foret d’Andaines ou une terrible bataille s’etait deroulee. A l’heure ou j’ecrit ce testament, je legue la chances pour tout nos descendant de trouver leur origine. Un jour viendra ou un enchanteur passera sous l’arche de la porte du levant et, ce jour-la, ma derniere volonte sera exaucee. (...)