L'Horreur du Glen
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Contient : journal (13)(...) Du point de vue du déroulement du scénario, il vaut probablement mieux les encourager à aller à Strathmorn sans attendre, mais s'ils désirent se rendre à la bibliothèque, reportez-vous à la section consacrée aux documents, plus loin dans ce livret. Bien sûr, à ce stade, ils ne sauront rien de l'existence dujournald'Archie McPhee et devront faire des jets de Bibliothèque exceptionnellement bons pour le trouver. (...)
Son grand-père, Archie McPhee, en était le pasteur lorsque le manoir a été occupé pour la dernière fois. Elle croit qu'il a écrit une sorte dejournalintime, mais elle ne sait pas ce qu'il est devenu : il a probablement été brûlé car il mentionnait des faits et gestes répréhensibles de la famille MacMorn. (...)
Les villageois resteront bouche cousue sur tous les sujets vaguement scandaleux ; ils deviendront très agacés et inamicaux si quelqu'un mentionne la maison MacMorn, le braconnage, les vols à la distillerie ou une quelconque affaire de moeurs. Ils seront particulièrement hostiles envers ceux qu'ils suspectent d'appartenir à unjournalanglais. Braconner est une sorte de passe-temps local. Une grande partie des terres autour du village appartient à Lord Cawdor et cerfs, grouses et saumons y abondent. (...)
En outre, c'est un petit-fils de l'ancien pasteur, Archie McPhee, et il peut confirmer ce que Mrs MacPherson a dit à son sujet. Cependant, il pense savoir ce qui est arrivé aujournaldu vieil homme. Apparemment certains des livres d'Archie McPhee ont été légués à la bibliothèque d'Inverness, conformément à une clause de son testament. Gordon McPhee pense que lejournalpourrait être parmi eux. Mrs McPhee est l'institutrice locale et est donc assez instruite. Elle sait ellemême peu de choses sur le manoir, mais n'ignore pas que les MacMorn étaient riches et avaient réussi, jusqu'à leur soudaine disparition. (...)
Le grand-père de MacPherson, Archie McPhee, qui était pasteur dans le village au moment de la chute des Mac- Morn, tenait unjournalqui est maintenant à la bibliothèque d'Inverness. Les ragots de Madame MacPherson et les informations du commerçant, Gordon McPhee, devraient les y amener à un moment ou à un autre, s'ils n'ont pas déjà eu l'idée d'y faire un tour en rendant visite à la police. Après le legs par McPhee de sonjournalet de plusieurs autres livres à la bibliothèque, ils ont été classés et oubliés. C'est pourquoi quelqu'un ignorant l'existence dujournalaura un malus de 50 % sur son jet de Bibliothèque pour le découvrir. Une fois que l'on rappellera l'existence du testament aux responsables de la bibliothèque, ils seront en mesure de trouver les livres sans aucun problème. Plusieurs passages dujournalintime sont intéressants, les plus significatifs sont les suivants : 'Le 2 juin 1810 - Grandes réjouissances. (...)
D'un autre coté, je dois veiller à ce que jamais le malheur qui est tombé sur la maison MacMorn ne soit plus dérangé, de peur que ce même mal qui a possédé Maître Alex ne soit lâché sur d'autres hommes.' Ce dernier paragraphe a été entouré au crayon, assez récemment d'après son aspect. Comme lejournalcommence seulement en 1808, il n'y a aucune autre mention de la fuite amoureuse de Moira MacMorn. Une enquête à la bibliothèque sur les autres lecteurs dujournalrévélera que le docteur McBride est venu ici il y a quelques mois et a demandé à voir certaines vieilles collections. (...)
Les seules autres indications intéressantes sont quelques mentions éparses de moutons pris par des loups. Lejournals'achève au début 1816. Il n'y a pas d'autres informations sur le sujet qui puissent être trouvées. (...)
Une copie du testament d'Archie McPhee existe dans les registres des bureaux du Comté. Ceci peut mener les investigateurs aujournal, s'ils le croyaient détruit. Les investigateurs peuvent décider d'essayer de confirmer les soupçons que McBride est lié aux MacMorn. (...)Ce scénario se déroule dans les années 20 ou 30, et est conçu pour un groupe de joueurs habitués à étudier des faits étranges et faisant un peu autorité dans ce domaine : ils en auront besoin afin de pouvoir coopérer avec la police et les villageois soupçonneux et potentiellement hostiles. L'article du Sunday Review en préambule fournit une introduction appropriée à l'aventure et la situe quelque part vers la fin des années 30, ce qui correspond à la période à laquelle Harry Price opérait ...