Ah, les beaux ennemis que voilà !
Dans la plupart des jeux de rôle, les personnes luttent contre les événements, font des enquêtes mais surtout luttent contre les « méchants », ceux qu'en anglais on nomme les « bad guys ». Bien évidemment les exemples ne manquent pas pour les jouer, que ce soit dans la littérature, les feuilletons radios et télé, le cinéma. Voici néanmoins quelques trucs pour créer vos ennemis et vos hommes de main, avec une méthode inspirée de l'excellent jeu Pendragon. Les doubles valeurs : Dans cette aide ...Contient : survie (5)(...) Soit le GM est un gentleman, soit il n'hésitera pas à utiliser la torture, la coercition et autres méthodes peu honorables.Survieet acolytes : Un grand méchant qui débute est déjà un peu plus qu'un PNJ normal On lui attribue un chiffre deSurvieégal à 1. Cela veut dire que dans des circonstances qui normalement cause la mort, le méchant à une chance sur six d''y échapper miraculeusement. A chaque aventure où il affronte nos aventuriers. Il peut augmenter son score deSurviede 1, ou bien donner ce point à l'un de ses acolytes (eux commencent avec un score deSurviede 0 et ne peuvent augmenter d'eux-mêmes). Quant aux acolytes, le Grand Méchant en a en général entre un et six. (...)
On peut considérer une secte ou une organisation criminelle comme un acolyte particulièrement puissant. Cette organisation bénéficie aussi du score deSurvie. Si le GM n'a qu'un acolyte, il aura peu de défauts (mais il en aura forcément au moins un, puisque lui aussi est du côté du Mal). (...)