New York - New York
Contient : récit (2)(...) Je sais bien qu'en écrivant ces lignes j'attaque la falaise des classiques indéboulonnables chers aux « grands anciens » et que je risque de m'attirer quelques reproches innommables mais je ne peux pas faire autrement que de vous avouer mon ennui. Lovecraft lui-même posait comme « authentiquerécitfantastique » celui qui met en place « une certaine atmosphère oppressive, une inexplicable peur de l'inexplicable des forces de l'inconnu »*** que l'imagination des joueurs peut s'empresser d'accentuer, créant ainsi, eux-mêmes, leurs propres terreurs. (...)
These little town blues are melting away, i'm gonna make a brand new start of it in old New York (ou La couleur tombée du Gratte-ciel). Lerécitfantastique tente de réveiller « la plus vieille, la plus forte émotion ressentie par l'être humain », comme la nommait Lovecraft, ajoutant que « la forme la plus puissante découlant de cette peur, c'est la Peur de l'inconnu**** ». (...)Sur ces 152 pages on trouve trois grandes parties. La première (25 pages), après une nouvelle lourdingue sur un festin dans les ténèbres avec des goules qui ne s'intitule même pas Devine qui on va manger ce soir ?*, est consacrée à l'historique de la ville. Tout y passe depuis la fondation de la ville sur un territoire sacré en passant par l'installation des premiers colons Hollandais, et ainsi de suite jusqu'à l'époque du jeu. On découvre au passage qu'une secte lunaire y prospère depuis longtemps ...