Preview : Ecran
sur Black Book Edition au format (1.4 Mo)
Contient : johnson (6)(...) Dans tous les mariages, il y a des hauts et des bas, mais dernièrement tout est vraiment parti en vrille pour MmeJohnsondepuis que M.Johnsona commencé à claquer tout leur argent en putes bunraku (des « poupées de chair » décérébrées). Ce jeune couple jusque-là si paisible, répondant aux vrais noms de Regina et Travis Mathis, est employé sur la caisse noire du département de la publicité d'une grosse mégacorpo. (...)
Elle n'a aucune confiance dans le détective privé qu'elle vient d'engager pour surveiller son mari (un type du nom de Casey Elton) et craint qu'il ne la boucle pas : il est selon toute vraisemblance bien cupide, et pourrait déjà être en train de vendre les informations au supérieur de M. Mathis. C'est la raison pour laquelle il est absolument indispensable que le mari de MmeJohnsonsoit tué d'ici la semaine suivante. Elle offre 5 000 ¥ à l'équipe, mais peut être convaincue de monter jusqu'à 10 000 ¥. (...)
Les détails en expliquant les raisons sont peu nombreux : visiblement l'équipe en question a doublé leur ancien fixer ouJohnson, ou peut-être qu'ils savent quelque chose qu'ils ne devraient pas savoir ; en revanche, on sait qu'ils sont d'un niveau à peu près équivalent à celui des personnages joueurs, recommandant donc la plus grande précaution et le plus grand soin dans la planification. (...)
Il s'avère (bien que cela ne sera pas aisé à découvrir) que les deux équipes ont été employées par la même personne pour s'éliminer mutuellement. Le raisonnement est insidieux : les deux équipes ont par le passé travaillé pour un mêmeJohnsonqui fait aujourd'hui l'objet d'une enquête sur ses activités passées. Dans l'espoir de détruire les pistes et d'éliminer toute personne en mesure de l'incriminer,Johnsontente désormais de pousser les deux équipes à s'entretuer. Et si la destruction mutuelle ne fonctionne pas, il sortira l'artillerie lourde. (...)La preview de l'écran et du livret qui l'accompagne, pour Shadowrun Quatrième édition. DES RELATIONS : Le bouge régulier de Jake était tel que d'habitude : sombre et miteux. La salle suintait le désespoir à vous donner la nausée et c'est comme ça que les habitués l'aimaient. Jake remua son verre de synthalcool. Ce truc chlinguait, mais après le cinq ou sixième coup, il le remarquait à peine. Le type massif qui venait de s'asseoir à côté de lui, Eddie, regarda brièvement la scène et grogna ...