Critique Post-Mortem
sur La Lune Rousse au format (76 Ko)
Impressionnant. Voilà qui résume bien mon sentiment global sur ce jeu. Je m'attendais à un jeu limité à une approche purement fun ou délirante, c'est-à-dire av ec les limites habituelles des jeux parodiques (background mal ficelé, système inexistant,...). Rien de cela ici : La lecture est hilarante et laisse présager de parties tout aussi drôles tout en fournissant un cadre de jeu cohérent et structuré. Avancez vers la lumière... Oriflam, traducteur de jeux comme Cyberpunk, Elric, Hawkmoon ...Contient : sbires(...) Enfin, tout et tout le monde a un niveau, du plus commun des spectres à l'Ersatz de bière ; ce niveau définit la qualité du sujet aussi, le terme ‘niveau', affublé de divers quantificateurs, émaille les conversations... Ajoutons à cela un petit historique de la naissance de Donjonia (où l'on apprend que l'enclave s'appelait Dragonia avant que la puissance dominante ne change) et une table spécifique pour les effets infinis, et on peut attaquer l'enclave quartier par quartier. Après une présentation de l'actuelle puissance dominante, de sessbires, de sa milice et de la tour aux mille niveaux (dont les étages grouillent de monstres payés pour casser du spectre, et de trésors divers), on passe à Dragonville, le quartier pauvre où fleurissent délinquance, criminalité et pauvres lézards volants haïs par la population. (...)