La morsure du nord
sur Le Ludiste
Les sabots des montures soulevaient la neige sur leur passage, signalant l'arrivée imminente d'une troupe importante, les sentinelles embusquées les avaient repérés depuis longtemps déjà et la peur au ventre, elles s'interrogeaient. - On n'aurait peut-être pas dû attaquer le village, sergent ? - Soldat, vous savez bien qu'on ne discute pas les ordres ! Vous avez de passez votre vie derrière un bureau à vérifier des formulaires à longueur de journée ! - Non, sergent, non... Dans la tête ...Contient : guerriers (5)(...) ------------------------------------------------------------------------------- Lorsque Wilhelm et sesguerriersrentrèrent de la chasse, leur vision fut obscurcit par la douleur. Depuis des lieues, ils apercevaient une fumée noire qui s'élevait du village. (...)
L'aenestor avaient envoyés leur escouade avec pour mission de retenir les Piorads et d'en éliminer le plus possible. Mais ils n'étaient que douze et leur mission résidait dans la destruction d'une cinquantaine deguerriersivres de violence et criant vengeance ! Mais les ordres sont des ordres... ------------------------------------------------------------------------------- En fouillant leur village, Wilhelm et ses hommes trouvèrent les restes d'armes et d'armures de métal, ainsi que de nombreux carreaux d'arbalètes. (...)
Une immense clameur s'éleva dans le village en cendres. A peine revenus de leur traditionnelle chasse aux thunks, les valeureuxguerriersde Wilhelm partaient en guerre pour venger leurs familles... ------------------------------------------------------------------------------- Les pisteurs Piorads furent les premiers à franchir le rempart de neige. (...)
Le craquement qui suivit quelques minutes après signifiait que les Piorads avaient investi la place : le véritable combat allait commencer. Le ' piège ' d'Alexandre fonctionna et deuxguerrierspérirent sous le poids d'une armoire en chêne massif. Les autres durent escalader les débris et les soldats Vorozions purent ainsi se préparer correctement à leur assaut. (...)
D'une roulade vers l'arrière l'officier Vorozion se mit hors de portée de la hache du géant du nord et le combat pu reprendre... Les deux antagonistes s'évaluant mutuellement, tournèrent en une ronde de mort. Autour d'eux, les combats prirent fin : seuls deux soldats en armure et troisguerriersen cuirs et fourrures étaient encore debout. Mais de cet environnement, les deux chefs n'en avaient plus la perception, en effet, leur vision se limitant au corps et à l'arme de l'ennemi. (...)