Danse Macabre
sur Lazarus au format (635 Ko)
INFORMATIONS SUR LE SCENARIO : DUREE DE VIE : Ce scénario a une durée de vie assez longue, puisqu'il faut compter 3 a 4. séances longues (Plus de 6 heures par séance) afin d'arriver au terme de l'histoire. Les PJ doivent être au moins moyennement expérimenté et leurs personnages ne pas en être a leur première aventure. CAMPAGNE : Ce scénario peut très bien être joué seul, indépendamment d'une campagne. Ou alors, il peux y être intégré. A vous de voir. Faites en ce que vous voulez. CONCEPTION ...Contient : penseur (4)(...) Le monde des ténèbres lui parut vide de toute liberté et tyrannique, aussi réfléchit il longuement, puis il se mis a chercher parmi les jeunes vampires d'autres qui comme lui serait révolté. Il en trouva. Dont Thibault qui devint le commandant et lui se contenta du rôle depenseur. Il survécut a la nuit de l'infanticide, dont il inventa la formule. Cet événement ne fit qu'accentuer sa haine de la société vampirique et des anciens et il recréa le mouvement avec le brujah, devenant cette fois ci plus actif. (...)
SIDOINE : « C'est l'infant d'Eve, c'est un grand poète, il a inventé la formule de la nuit de l'infanticide, il méprise la violence et préférerais d'autres solutions mais il sais qu'il n'y en a pas. » Vous le savez peu dangereux du fait de son pacifisme, il reste cependant lepenseurphilosophique du mouvement, son charisme est grand mais vous doutez que sans Thibault il représente un quelconque danger. (...)
JUSTIN : C'est un frère d'arme, il a l'esprit vif et nous partageons les mêmes idées sur les anciens. C'est un allié. SIDOINE : « C'est un grandpenseuraux idées pures et belles. C'est lui qui a inventé la formule de la nuit de l'infanticide, si Thibault est notre coeur, Sidoine est notre âme. (...)
SIDOINE : « Sidoine est l'enfant d'Eve, c'est un grand poète mais sa transformation en cainite a transformé son art en le tournant vers le macabre, il ne la pas pardonné a Eve. C'est un grandpenseur, nous partageons les mêmes idées depuis longtemps ». Vous lui faites confiance mais son refus de la violence vous agace. (...)