Le Salut du Coadjuteur
sur La Cour d'Obéron au format (107 Ko)
Ce scénario est conçu pour des personnages appartenant à la clientèle de la Maison de Guise. Il convient à une troupe de personnages courageux comprenant au moins un ou deux combattants et de bons diplomates. La présence d'un aristocrate est vivement recommandée ; celle d'un ec- clésiastique peut s'avérer à double tranchant : précieuse dans certaines circonstances, périlleuse dans d'autres. L'histoire : 1) La fuite du coadjuteur. Jean d'Aigremont, chanoine du chapitre de la cathédrale ...Contient : retrouve (4), retrouvé(...) Le Baron est tué au cours du combat, et ses soldats battent retraite en désordre vers son château en emportant son corps. Louiset seretrouvedonc au milieu des troupes mercenaires qui écument la région et s'apprêtent à opérer leur jonction avec l'armée du Prince de Condé. (...)
S'ils parviennent à la convaincre qu'ils désirent aider le jeune homme, elle leur révélera ce qui leur est arrivé et comment Louiset s'estretrouvéembrigadé dans le régiment de Reiner Blaumanraient empêtrés dans le domaine de Saint-Vrain, faites intervenir une cornette de cavalerie protestante, menée par le lieutenant de Cassagnac, qui tentera de s'emparer du château 'au galop' (Stratégie très prisée par le Prince de Condé, que les stratèges appelleront un 'Blitz' au XX° siècle). (...)
La bataille dure un peu plus d'une heure, se solde par un statu-quo et laisse de nombreux corps sur le terrain. Du côté des huguenots, le régiment de Reiner Blaumann seretrouveen première ligne ; il est attaqué par les chevau-légers catholiques, dont l'enseigne Claude de Ginvilliers, qui cherche Louiset pour le tuer. (...)
), mais reste la tactique la plus rapide et la plus discrète. Cette solution n'exclut pas que Claude de Ginvilliers lesretrouvedans la mêlée et les attaque sauvagement. * Troisième alternative, valable entre autres pour des PJ restés prisonniers : parler de l'héritage de Louiset à un officier lansquenet comme Wurtz, qui répercutera la nouvelle jusqu'au capitaine Blaumann. (...)
Lorsqu'il comprend que les PJ sont envoyés par le cardinal de Lorraine, il commence immédiatement à se confier à eux, d'une voix faible entrecoupées de plaintes. Il se confessera plus particulièrement à un prêtre. Il suppliera d'emblée qu'onretrouveson fils pour le bénir et en faire son légataire universel. Le docteur Paludier, le père Galuret et Edmond de Ginvilliers assistent à l'entretien. (...)