Le Sang des Sorciers : Une Vision Alternative du Clan
Tremeresur La Cour d'Obéron au format (104 Ko)
Le Problème Tremere : En tant que conteur de Vampire : La Mascarade, j'ai toujours eu un problème avec le Clan Tremere. Ce problème est fort simple : les Tremere me semblent beaucoup trop puissants. Leur maîtrise de la Thaumaturgie, avec toute la flexibilité qu'offrent les Voies et les Rituels, constitue un atout absolument extraordinaire, qui suffirait à lui seul à placer les Tremere dans une position privilégiée - mais la Thaumaturgie n'est qu'un des aspects de la question, car ce Clan peut ...Contient : mortelle (2)(...) Leur maîtrise de la Thaumaturgie, avec toute la flexibilité qu'offrent les Voies et les Rituels, constitue un atout absolument extraordinaire, qui suffirait à lui seul à placer les Tremere dans une position privilégiée - mais la Thaumaturgie n'est qu'un des aspects de la question, car ce Clan peut également s'enorgueillir d'une organisation pyramidale sans faille ainsi que d'une longue pratique du machiavélisme politique, deux atouts qui lui confèrent une influence considérable au sein de la Camarilla comme dans la sociétémortelle. Lorsque l'on y regarde de plus près, on constate que les Tremere sont au moins aussi influents que les Ventrue, au moins aussi bien informés que les Nosferatu et beaucoup plus soudés que n'importe quel autre Clan. (...)
Face à ce problème, la solution la plus simple (et celle que j'ai choisi de suivre dans mes propres chroniques depuis déjà plusieurs années) consiste à réduire considérablement le pouvoir politique du Clan, dans la Camarilla comme dans la sociétémortelle. Pour cela, il est indispensable de revisiter la structure même du Clan. A la place d'une pyramide de pouvoir soigneusement contrôlée et hiérarchisée, imaginons un Clan divisé, dont les membres vivent en petites coteries, voire en solitaires, chaque groupe essayant de préserver jalousement ses secrets et ses connaissances thaumaturgiques ; un Clan dispersé, rongé par les suspicions et les dissensions internes, incapable de construire de façon globale une base de pouvoir durable. (...)