Le livret de l'écran : Bien mal acquis…
sur Le Site des Mousquetaires de l'Ombre au format (6 Mo)
Contient : jésuite (8)(...) Pour tout savoir en quelques lignes Saint-Malo, septembre 1657. Une nuit, une bande de jeunes gens passablement éméchés (le fils d'un marchand de dentelles, unJésuiteet un officier) monte à bord d'un navire, y dérobe quelques objets, dont un tonnelet de bois, puis force le passage pour revenir en ville. (...)
Leurs contacts dans la ville de Saint-Malo sont Pierre de Launay, un armateur, qui assurera la « couverture » du bateau-prison en l'intégrant à sa petite fl otte de navires-marchands, et Yves de Kernoual, unjésuitedétaché de Rennes pour s'occuper de la chapelle Saint-Aaron, propriété de la Compagnie de Jésus depuis 1631. La présence de ceJésuiteà Saint-Malo et les relations entre les deux Compagnies, celle Mousquetaires de l'Ombre et celle de Jésus, ne pourront qu'apporter des bénéfices mutuels. (...)
Saint-Malo offre donc un cadre d'aventures bien particulier, une ville fortifiée qui devient île à marée haute, à l'intérieur des murs de laquelle s'agglutinent maisons et échoppes, églises et cabarets, une ville animée de toute une humanité bigarrée de marchands, marins, constructeurs de navires, taverniers, femmes de bonne ou mauvaise vie. LeJésuiteperd la tête : En arrivant à Saint-Malo, ce dimanche 9 septembre 1657, les PJ peuvent se penser à pied d'oeuvre : l'armateur Pierre de Launay est présent pour les accueillir et s'occuper d'éventuelles formalités pour l'arrivée du navire. (...)
En revanche, Monsieur de Launay est porteur d'une mauvaise nouvelle : le matin-même, le second contact des PJ, leJésuiteYves de Kernoual, a été retrouvé mort à Saint-Servan, non loin du fort de Naye. Un problème épineux, qui le devient encore plus quand on sait qu'à ses côtés gisait le cadavre d'une « fille publique », Catherine Bouet. (...)
Les deux têtes ont été séparées des corps, mais personne n'a connaissance d'une arme ou d'un outil pouvant découper ainsi chair et os... Les PJ pourront se rendre compte, eux, que c'est très probablement avec une mono-lame [voir Le précis Kiou, page 5] que ces deux corps ont été décapités. Gageons que cela retiendra leur attention. Autre point troublant : leJésuitea été torturé avant d'être décapité, contrairement à la fille publique. S'ils interrogent d'autres membres du clergé séculier ou régulier, les PJ apprennent qu'Yves de Kernoual était tout autant féru de théologie et de philosophie que noceur et paillard. (...)
Mais... pas vu, pas pris... Et il se murmure qu'il avait des protections tant bourgeoises qu'ecclésiastiques. (Quelqu'un pourrait citer le nom dujésuiteKernoual). Nicolas Trublet reparaît le lendemain, mercredi 12 septembre, sous forme d'un cadavre dans le filet d'un pêcheur, non loin du rocher du Grand Bey. (...)
A la recherche du troisième homme. Le calme à la campagne : S'ils interrogent de manière convaincante des ami(e)s duJésuiteYves de Kernoual et de Nicolas Trublet, les PJ apprennent que ces deux hommes avaient le plus souvent partie liée, pour leurs virées nocturnes, avec Alexandre de Noureuil, un jeune officier servant au château de Saint-Malo. (...)Le coeur de cette aventure met à l'épreuve les capacités d'enquêteurs des Mousquetaires de l'Ombre, plus que leurs aptitudes à manier la rapière ou à se suspendre à un lustre. Mais, n'ayez crainte, nous vous avons mijoté plusieurs scènes pour que les lames ne restent pas au fourreau. Pour tout savoir en quelques lignes Saint-Malo, septembre 1657. Une nuit, une bande de jeunes gens passablement éméchés (le fils d'un marchand de dentelles, un Jésuite et un officier) monte à bord d'un navire ...