Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : hôpital (4)(...) ' (afp, 3 avril) Le ministère de la Santé a demandé un examen dans tous les centres médicaux du pays sur l'administration de tranquillisants et de médicaments psychotropes, à la suite d'un article paru dans le plus grand journal de Pologne Gazeta Wyborcza sur l'existence de telles pratiques dans unhôpitalde Lodz. Certains décès dans cethôpitalauraient «pu avoir été provoqués notamment par une administration incontrôlée de médicaments utilisés dans l'anesthésie», affirme le journal citant des témoignages anonymes d'anciens employés de l'hôpital. Le personnel médical «retarderait parfois volontairement» le transport de certains malades, «pour diminuer leurs chances de survie» et convaincre ensuite les familles des décédés de s'adresser à certaines sociétés de pompes funèbres. Les «tarifs» pour une dépouille, appelée dans le jargon de l'hôpital«la peau», vont de 1200 à 1800 zlotys (de 326 à 490 euros), dans un domaine où la concurrence est rude puisque très lucrative pour les sociétés spécialisées dans les services funèbres. «Si ces informations sont vraies, elles sont choquantes», a déclaré le premier ministre Leszek Miller, déjà échaudé par un récent rapport très critique sur le fonctionnement des hôpitaux en Pologne. (...)