Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : propriétaire (4)(...) De simple mécano, il avait réussi à monter son propre établissement à Roubaix et y possédait trois maisons ; en outre, il étaitpropriétaired'un terrain bâti à Buhl où il souhaitait se retirer à ses vieux jours. On sait que le 25 août, Jean Kinck s'était rendu en Alsace pour affaire, suivi début septembre par son fils aîné Gustave, 22 ans. (...)
Le monde de l'usine est un lieu où l'Etat intervient peu ; même l'entretien des rues adjacentes revient aupropriétaire. Apparaissent les courées et d'autres constructions à la va-vite. Les chaussées restent en terre battue. (...)
Les autres races ont leurs propres particularités. Le squelette permet de déterminer l'âge et le sexe dupropriétaire. La reconstitution faciale est inventée vers 1900 par un anatomiste suisse (Wilhelm His). (...)