Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : rempart (3)(...) La misère, encore la misère, encercle les noyaux historiques des villes. Le Ring de Vienne ressemble désormais à unrempartcontre la pauvreté plutôt qu'à un symbole monarchique. Trop de personnes, trop vite ! Aucun urbanisme n'a été en mesure de gérer cet afflux brutal de migrants, sauf peut-être Paris où l'on taille des boulevards à coup de sous le baron Haussmann. (...)
L'affaire pourrait en rester là si la meurtrière par négligence n'était pas de bonne famille. Dernierrempartavant le boulot. Ou plutôt, vestige derempartpuisque dans la ruelle de mon agent, qui a miraculeusement échappé aux aménagements du baron Haussmann, on trouve encore les restes d'une barricade comme on en dressait lors de la révolution de 1848. Escaladant la barrière de fortune, je pensais au Gavroche que j'avais pu être dans mon enfance et me contentais d'avoir échappé à ce milieu. (...)