Hommes de Scène
sur Qin - la légende au format
«Hommes de scène» a été adapté à partir du scénario de L5A « Le dragon de l'Air, p. 2 : Le général d'Obsidienne», présent sur le site : SDEN (http://www.sden.org/-Livre-des-5anneaux-. html) et dont l'auteur original est Goethe. Il sera joué dans ma campagne Qin entre la deuxième et la troisième partie du scénario « Le Piège » du supplément Tian Xia Xianyang. Le document se décompose en trois parties : le scénario, les annexes et enfin une aide de jeu sur le théâtre en chine. Le scénario«Hommes> ...Contient : manches (4)(...) L'homme dit qu'il sait qui ils sont et se présente comme un membre du censorat du Qin. Il leur présentera alors le sceau de Dao, qu'il sortira d'une de sesmanches, afin de prouver ces dires. « Le censorat sait que vous êtes à Quren pour quelques jours et Dao souhaiterait que vous lui rendriez un petit service... Vous devez faire disparaître un fonctionnaire étranger qui est lui aussi de passage en ville. (...)
Gestuelle : Le code gestuel (liang xiang), auquel doit se plier l'acteur pour exprimer les nuances de caractère et les sentiments de son personnage est particulièrement complexe. Ce code règle les expressions de son visage, ses mouvements demanches, les positions de ses doigts et ses pas. Outre son rôle signifiant, ce code gestuel contribue grandement à l'esthétique visuelle de l'opéra chinois. Les acteurs de l'opéra chinois ont repris aux danseurs d'autrefois les longuesmanchesondoyantes faites d'un morceau de soie blanche et légère cousue sur la manche du costume et en ont fait un élément caractéristique du langage scénique. (...)
La classification des couleurs de robes permet d'affiner le grade ou la fonction du personnage : on reconnaît un empereur à la couleur jaune, un haut dignitaire au rouge, un haut fonctionnaire au violet, au vert ou au bleu foncé. Enfin le costume est souvent agrémenté demanchesextrêmement longues qui jouent un rôle très important dans la gestuelle des acteurs. Maquillages : Plus que tout autre composant du rôle, il permet de reconnaître dès son entrée en scène les nuances d'un personnage. (...)