Etre une femme
sur Bastion rôliste
Contient : roleplay (4)(...) Interprétation correcte, mais... ...mais le joueur réagit selon ses habitudes de jeu, sa propre personnalité, et non selon celle de son personnage. Jouer une femme non-féminine est possible, mais difficile à percevoir du point de vue duroleplay. ' Entre les victimes qui appellent à l'aide et les criminels qui s'enfuient, je poursuis les criminels '. (...)
La première fois que [mon personnage à Trinity, qui est une sorte de] poupée Barbie s'est servi d'un flingue contre un être humain, elle s'est 'blindée' avant (techniquement c'est le pouvoir d'Empathie de niveau 3, et ça permet de s'isoler émotionnellement et mentalement du monde extérieur). J'ai utilisé un pouvoir par purroleplay, ce n'était pas la seule fois, et je ne pense pas que qui que ce soit a part moi à la table les utilise de cette façon. (...)
La recherche d'une interprétation subtile ne vous empêche pas de vous relâcher ponctuellement. Ainsi, une anecdote à Warhammer : après des parties entières deroleplaysobre de mon personnage féminin, je décidai soudain de jouer de façon héroïque, pour tendre une embuscade à de méchants gardes à l'embouchure d'une rivière. (...)
Imaginez que vous décidiez de ne plus jouer que des personnages féminins. Vous allez être obligé de pensez sans arrêt à jouer différemment, et approfondir votreroleplaypar l'expérience de caractères éloignés de votre personnalité. Vous allez briller (encore un sentiment apprécié par les femmes ? (...)J'ai déjà fait part, dans dilemme, des instants que je trouve précieux dans les jeux de rôles : ceux où le joueur se prend vraiment pour le personnage, où il ressent des sentiments inconnus du rôle qu'il joue habituellement dans la vie réelle. Un de ces moments magiques m'est arrivé encore une fois dans la campagne Cyberpunk d'Alexandre: les malheurs et les menaces de mort s'accumulent sur le Personnage-Non-Joueur principal, Adriana Young, une innocente chercheuse broyée par les circonstances ...