Monsieur Philibert
sur Cats ! La Mascarade au format (1.4 Mo)
Contient : arthur (13)Monsieur Philibert Personnalité :ArthurPierre Henri Philibert est né à la fin des années soixante à Paris. Son père était le fils d'un riche banquier français établi dans la capitale, dont certaines mauvaises langues aimaient à dire que le marché noir avait considérablement augmenté sa fortune personnelle. (...)
Sa mère était la petite-fille d'aristocrates italiens, chassés par le fascisme et venus trouver refuge en France quelques années avant l'occupation. Le petitArthurcommença donc sa vie dans un confort douillet, à l'abri du besoin, et reçu une éducation adaptée à son rang social. (...)
En effet, quelques rares êtres humains naissent avec des talents psychiques, certes beaucoup plus faibles que ceux des félins, mais assez « actifs » pour être remarqués, voir remarquables. Le jeuneArthurPhilibert avait un don pour déterminer ce que voulait son entourage, voir entendre les pensées à distance. (...)
La première l'entraînait dans des séances de spiritisme organisées afin d'épater ses amies tandis que le second l'emmenait voir des sommités reconnues dans des consultations régulières afin de déterminer l'origine de ces troubles psychologiques. Le jeuneArthurfinit par devenir un client régulier des hôpitaux psychiatriques, et se convainquit qu'il était bel et bien fou. (...)
Alors qu'il se promenait seul dans le parc de l'hôpital psychiatrique, il engagea sans y prendre garde une conversation muette avec une jeune chatte qui se prélassait au soleil sur les branches hautes d'un arbre. Se rendant compte que ce chat lui parlait aussi dans la tête,Arthurremit en cause sa prétendue folie et, surtout, se lia d'amitié avec ce félin qui était son premier et véritable ami. (...)
Cette amitié fut réciproque, et la chatte (qui avoua s'appeler Mr'Iw) brisa la Mascarade en révélant àArthurla véritable nature de l'Homme. Loin de s'en offusquer,Arthurprit fait et cause pour les félins, jugeant que l'humanité produisait certes des oeuvres artistiques remarquables, mais que ces dernières étaient bien peu de choses à coté des horreurs commises par les hommes. Fort de sa nouvelle amitié,ArthurPhilibert s'est lentement reconstruit et finit par retrouver un état psychologique normal, qui plus est reconnu par ses médecins traitants. Il réintégra ainsi une vie ordinaire hors des murs de l'hôpital. (...)
Ses parents moururent tragiquement dans un accident de voiture en 2005, le laissant à la tête d'une fortune rondelette.Arthurs'acheta un grand pavillon en banlieue parisienne et s'y calfeutra, laissant ses communications avec le monde extérieur réduites au minimum. (...)
Ce sont majoritairement des agents du Conseil de Paris qui ont ainsi une couverture officielle et une base arrière idéale.Arthuraccueillit bien entendu Mr'Iw sous son toit, jusqu'à cet accident tragique qui en fit un bastet. (...)
C'est ainsi qu'est né la légende de Monsieur Philibert dans le quartier, un vieil excentrique solitaire qui vit reclus dans un pavillon de banlieue avec ses chats Schrödinger, Cléopâtre & Attila et qui reçoit de temps en temps la visite d'une adolescente qu'on dit être sa nièce. Au fil des années,ArthurPhilibert s'est de plus en plus impliqué dans les missions félines, jusqu'à y participer en tant qu'auxiliaire humain. (...)
Il a aussi conservé intacte sa passion pour l'escrime et ne se sépare jamais de a canne-épée en voyage. Physique :ArthurPhilibert parait la soixantaine bien sonnée, alors qu'il n'a que cinquante quatre ans. Il a le port altier et le regard noble, le tout auréolé d'une superbe chevelure et d'une barbe d'un blanc éclatant. (...)
Coté vestimentaire, il est très rétro avec des redingotes en pagaille qui accentuent encore un peu plus son coté vieille France. En fait,Arthura plus fréquenté ses grands-parents que ses parents. Pour parfaire son coté anachronique, le niveau technologique maximum supporté par Monsieur Philibert se trouve être le téléphone à impulsion. (...)Personnalité : Arthur Pierre Henri Philibert est né à la fin des années soixante à Paris. Son père était le fils d'un riche banquier français établi dans la capitale, dont certaines mauvaises langues aimaient à dire que le marché noir avait considérablement augmenté sa fortune personnelle. Sa mère était la petite-fille d'aristocrates italiens, chassés par le fascisme et venus trouver refuge en France quelques années avant l'occupation. Le petit Arthur commença donc sa vie dans un confort douillet ...