Don Diego Esteban Diaz de Varga
Don Diego Esteban Diaz de Varga est un fringuant hidalgo originaire de la province de Chihuhua au Mexique où il vit le jour en 1844. Issu d'une famille aisé, il passa sa jeunesse dans la bonne société de la capitale où sa position d'héritier et son charme naturel [A : belle gueule] lui valurent très tôt l'attention affective des mères à la recherche d'un bon parti pour leurs filles, les faveurs plus discrètes et inavouables de ces dernières, ainsi que les suspicions de leurs différents prétendants ...Contient : diaz (6)Don Diego EstebanDiazde Varga Don Diego EstebanDiazde Varga est un fringuant hidalgo originaire de la province de Chihuhua au Mexique où il vit le jour en 1844. Issu d'une famille aisé, il passa sa jeunesse dans la bonne société de la capitale où sa position d'héritier et son charme naturel [A : belle gueule] lui valurent très tôt l'attention affective des mères à la recherche d'un bon parti pour leurs filles, les faveurs plus discrètes et inavouables de ces dernières, ainsi que les suspicions de leurs différents prétendants. EstebanDiazde Varga profita pleinement de sa chance jusqu'à la déraison, incapable qu'il était de se conforter à la bienséance et désireux de goûter sans limites aux calices délicieux de la volupté. Car Don EstebanDiazde Varga a un gros souci il n'aime pas une femme, il n'en aime pas plusieurs, il les aimes [H : manie : joli coeur]. (...)
Dona Isabella flor magnifique à noul autre femme comparable...) épouse... Le mari Don Diego de la Vega (immonde roustre incapable d'offrir à oune tel joyau l'écrin qu'il méritait) fut bien surpris de découvrir sa femme dans un tel état de transport qu'il ne lui avait jamais connu, mais n'eut le temps d'attraper l'insolent portant un coup si dur à sa réputation et à l'honneur de sa femme (à moins quo cé né soit pour remercier le gentilhomme qui avait tant fait pour combler les passions de sa jeune épouse depuis trop longtemps délaissée) Pourchassé par les jeunes frères de la jeune veuve (il semblerait que le vieillard n'ait survécu que peu de temps à l'affront subit), rejeté et déshérité par sa famille soucieuse de conserver son statut et se démarquer d'un tel « voyou » (ma qué, je vo bien ké réconnaitre ké lé apparences soient trompeuses mé tout chechi n'é qu'oune stoupide malentendou), Don EstebanDiazde Varga fut contraint de passer la frontière du nord vers les Etats « pas-si » Unis, le temps que les choses se calment et qu'il puissent revenir. (...)
Actuellement, il erre en route vers une nouvelle ville après avoir perdu son cheval mort sous lui, d'une blessure reçus par une balle qui ne lui était pas destinée (souite à oune stoupide malentendu avec un homme de venou soubitement fou de jalousie) dans la dernière ville que Don EstebanDiazde Varga a du « subitement » quitté... Sangre de Dios à n'en pas douté la roue va à nouveau tourné dans le bon sens après une ou deux bonne main dans le prochain saloon. (...)