Les Cités Souveraines de Tilée
Contient : commerce (6)(...) Les habitants de Miragliano achètent donc de l'eau à des vendeurs qui sillonnent les canaux sur de petites barques. Miragliano est une grande cité decommercedont les petits bateaux légers sont un véritable fléau pour les grandes nations de marchands. (...)
Les Rémains sont de merveilleux marins et leurs navires rivalisent avec ceux de Miragliano et de Luccini pour lecommerceméridional. Leurs petits bateaux agiles sillonnent souvent les mers dans un but moins louable que lecommerce. En effet, les Rémains considèrent parfois les autres navires comme d'excellentes pièces de gibier, spécialement les Magrittains qui interdisent à Rémas d'exploiter à fond les possibilités ducommerceméridional. Rémas et Miragliano entretiennent une certaine inimitié réciproque et on a souvent vu les deux cités guerroyer entre elles, sollicitant souvent l'aide des autres cités tiléennes et engageant les services de mercenaires venus de tous les coins du Vieux Monde. (...)
Ils n'eurent qu'à chasser quelques créatures cavernicoles puis ils purent s'installer dans la cité oubliée et la repeupler. Ils la baptisèrent Tobaro. Les tobarains fontcommercedes pierres précieuses et de l'argent issu des montagnes avoisinantes, qu'ils échangent contre des nourritures venues, principalement, des autres nations de Tilée. (...)
Bien qu'ils soient d'excellents marins, les tobarains ne sont pas des adversaires commerciaux pour les Magrittains et les Arabes. Leurcommercemaritime se limite principalement à la mer de Tilée et aux côtes méridionales des Royaumes Estaliens. (...)Les Cités Souveraines de Tilée sont un groupe de cités souveraines de culture similaire bien que politiquement divisées autour de la Mer de Tilée. Ces plaines côtières sont bordées de partout de montagnes abruptes, formant une défense naturelle contre les envahisseurs. A l'ouest, les montagnes Abasko donnent directement sur la mer, offrant peu d'opportunités pour s'y installer. La côte elle-même est pleine de récifs traîtres, de telle sorte que seuls les marins expérimentés des cités souveraines ...