Les carnets de bord du capitaine Von Godefroy
sur Bastion rôliste
I. Ma vision du jeu de rôle ou comment s'amuser sans s'énerver. II. Comment ai-je commencé le jeu de rôle? III. Le monde de Vampire ou comment vivre sa ' non-vie '. Ces textes sont la propriété de Von Godefroy, membre du club Sortilèges. Ils sont parus dans le fanzine du club, dont l'intégrale peut être trouvée sur le site (officiel) de Sortilèges : www.chez.com/assosortileges Ma vision du jeu de rôle ou comment s'amuser sans s'énerver. par Franck 'Egomoije' Godefroy Je me présente ...Contient : organisation (3)(...) Ce genre de joueurs peut poser plusieurs problèmes, le principal étant qu'ils peuvent difficilement participer à une campagne à moins de les faire disparaître assez souvent ce qui pose, au meneur, des problèmes d'organisationet de crédibilité. Le second problème est la possibilité d'apparition pour le joueur d'une occupation plus intéressante que le scénario (Boite, pub ou plus rarement copine esseulée qui cherche le réconfort), ce qui se traduit souvent par un changement de comportement du personnage qui va commencer à faire n'importe quoi avec une tendance prononcée pour le suicide (Car le plus sûr moyen de quitter un scénario est la mort du personnage ou encore de se faire virer par le meneur). (...)
Mon exposé se contente d'évoquer la période contemporaine en laissant volontairement de côté la version moyenâgeuse du jeu qui diffère beaucoup de par l'organisationde la société vampirique et les rapports entre les vampires. Les joueurs interprètent donc de joyeuses créatures avides de sang et ne supportant plus la lumière du jour (dommage pour le bronzage), créatures qui arpentent inlassablement les trottoirs de nos villes à la recherche de leur nourriture, c'est à dire nous, les humains. (...)
Le vampire, quel que soit son âge et sa position dans la société vampirique, va devoir, s'il veut vivre en paix, accepter l'organisationvampirique de la ville ; celle-ci est généralement calquée sur le modèle moyenâgeux, le dirigeant vampirique pourtant le titre de prince. (...)