Mon expérience socio-jeu-de-rôlistique
sur Bastion rôliste
J'ai commencé assez tôt, à l'âge de 7 ou 8 ans, avec quelques Livres Dont Vous Etes Le Héros - pas beaucoup, j'ai jamais été un grand lecteur. Mon grand frère Sylvain fit découvrir le Jeu de Rôle Œil Noir à mon autre frère Vincent et à moi. Ensuite, Sylvain passa à JRTM (j'avais environ 8-9 ans), et nous suivîmes. Puis Warhammer pendant une courte période ; et enfin, mon frangin passa à Rolemaster (j'avais à peine 10 ans !). Rolemastermania : J'aimais JRTM/Rolemaster. Je trouvais que plus il ...Contient : scénars (4)(...) Je savais bien que c'était pas top, mais ça fonctionnait, puisqu'on ne faisait pas de roleplay. Et surtout, je trouvais ça préférable à desscénarspour un perso seulement. En seconde, je n'eus pas de très bons amis ; je ne réussis qu'à faire un bout de scénar dans les Terres du Milieu. (...)
Je ne dirais cependant pas qu'elle était parfaite, car il y a eu aussi des hauts et des bas. Mais des années après, mes joueurs me disent combien ils en étaient contents ; lesscénarsétaient bien, ils les faisaient rêver, ils étaient immergés dans un contexte complexe, qui les mettaient face à des paradoxes ou des situations ambivalentes, qui les faisaient réfléchir, genre le coup du Vampire attirant. (...)
Je ne veux pas passer 3 ans à écrire 'un scénar ultime' sans jouer. Je distingue maintenant l'aspect ludique de l'aspect créatif. Lesscénarsludiques se mettent en place et se jouent rapidement, pas prise de tête. Lesscénarsmoyen terme sont charpentés ; enfin, mon scénar/univers ultime sera en travaux pendant un temps indéterminé et je le fignolerai à l'extrême tant qu'il y aura une parcelle d'insatisfaction; mais des parties auront lieu sans attendre son achèvement. J'ai l'ambition (folle peut-être) que la campagne soit même digne d'intérêt pour un non-rôliste, comme une histoire de roman, de film par exemple. (...)