Solomon Kane : les règles
sur Solomon Kane au format (1.2 Mo)
Contient : scènes (7)(...) Pardessus ces lames, des regards ardent s'affrontèrent et flamboyèrent... » Les Epées de la Fraternité. Lesscènesde combat sont découpées en assauts, un assaut représentant une poignée de secondes durant lesquelles chaque protagoniste impliqué aura l'opportunité d'agir. (...)
Du Sang et des Ombres : L'univers de Solomon Kane est un monde violent : la plupart des aventures du Puritain comportent au moins une scène de combat, règle qui peut être facilement appliquée à un scénario de jeu de rôle. Il s'agit souvent descènesassez spectaculaires, dont le style se situe à mi-chemin entre le duel d'escrime typique des récits de cape et d'épée et l'approche beaucoup plus sanglante et sauvage employée par Howard dans les aventures de héros plus barbares, comme l'illustre Conan. Mais la violence de cet univers ne se limite pas aux seulesscènesde combat : elle est également présente de façon plus diffuse, à travers l'utilisation d'une imagerie résolument sinistre, dont on peut citer quelques motifs récurrents : le noir et le rouge, la lune et les ombres, les crânes et les ossements. (...)
En termes dramatiques, le fait que les points de Destin aillent en diminuant au fil de l'aventure contribue également à créer un effet de tension croissante en cours de jeu et à faire « monter les enchères » lors desscènesfinales. Comme nous le verrons au chapitre suivant, les PNJ de premier plan peuvent eux aussi disposer d'une réserve de Destin mais les héros incarnés par les joueurs sont les seuls pour lesquels ce capital se régénère à chaque aventure. (...)
Dans les situations les plus extrêmes, une telle folie pourrait, comme dans le cas de Kane, plonger ces personnages en état de Fureur Guerrière : le pirate dément défendant son trésor comme une bête sauvage, le fou de guerre se ruant l'épée à la main face à une ligne de mousquets ennemis (et vers une mort presque certaine), autant descènesclassiques que ces règles peuvent contribuer à mettre en scène... vi : ennemis et compagnie. « Ne bouge pas, Jonas Hardraker, dit Kane d'une voix monocorde. (...)
» Ici, c'est Agnès elle-même qui est manifestement troublée par le caractère incertain de sa propre identité sexuelle ; on est décidément bien loin des clichés complaisants des pulps de l'époque, dans lesquels lesscènesà connotation saphique se limitent presque toujours au stéréotype de la cruelle dominatrice « torturant » une frêle captive soumise, jusqu'à l'intervention salvatrice du héros viril triomphant. On trouve du reste de tellesscènesailleurs chez Howard, mais il est intéressant de constater que cet auteur savait aussi bien briser les clichés que les utiliser... Sonya la Rouge : Le nom de Sonya la Rouge (ou plutôt de Red Sonja avec un j ) est généralement associé à un personnage d'amazone rousse seulement vêtue d'un ridicule bikini métallique, maniant l'épée aux côtés de Conan le Barbare. (...)Comme son titre l'indique, ce jeu de rôle s'inspire directement des aventures de Solomon Kane, un des héros les plus sombres de Robert E. Howard. Les aventures de Solomon Kane se situent à la fin du XVIème siècle, l'époque de la Chasse aux Sorcières, de la Peste Noire et de l'Invincible Armada. Kane est un Puritain anglais, un homme sombre et solitaire ayant voué son existence à combattre le Mal et à venger les crimes impunis ; guidé par la main du destin, Kane parcourt le vaste monde ...