Constantinople
sur Eric Christ au format (889 Ko)
Contient : diogène(...) Quand enfin la noblesse militaire exaspérée par les avanies et les refus de crédits, imposa au patriarche Jean Xiphilin l'un des siens, RomainDiogène, il était trop tard. Les Seldjoukides avaient envahi l'Arménie, la Cappadoce jusqu'à Césarée, et Romain ne put leur opposer qu'une armée de mercenaires petchenègues et occidentaux qui fut écrasée à Mantzikert, en Arménie (1071). (...)Les Byzantins usaient ordinairement, pour désigner la capitale de leur Empire, de trois termes qui correspondent à son origine, à son rôle dans la vie politique, à sa suprématie économique et culturelle: ils l'appelaient soit la «ville de Constantin » (Kynstantinoupoliv), soit la «nouvelle Rome », soit la «reine des villes» (ou simplement la «reine», c basiliv). De fait, aucune nation peut-être n'a donné plus d'importance à sa capitale, et cette particularité explique bien des traits remarquables ...