Le journal de Kasumi : Dernière année, premier amour
Contient : galaak (11)Le journal de Kasumi : Dernière année, premier amour En cette douloureuse période, prise dans les tourmentes de l'adolescence, de ses brusques changements physiques ingrats et par la dure découverte des réalités d'un monde adulte lamentable, ce dont j'avais évidemment le plus besoin était le réconfort et l'amour de mon entourage, de ces gens qui croyaient en moi et me soutenaient.Galaakétait de ceux-ci et depuis quelques temps, il était repassé à l'offensive, m'inondant de son amour et de ses désirs. (...)
Nous nous posâmes sur le sable mouillé : le lieu était idyllique, entouré de hauts rochers et parcouru de quelques hautes herbes tranquilles. Les vagues venaient s'échouer doucement sur la plage conférant à l'endroit une grande sérénité.Galaakdescendit rapidement et ne tarda pas à se dévêtir entièrement, me révélant son corps sans gêne. (...)
Je pus enfin toucher sa peau lisse, froide mais si douce. Le contact psychique qui en résulta fut soudain et débordant d'amour. Car il n'était autre queGalaak! ! ! Et là tout me fut révélé : de sa vraie forme qui était celle qu'il endossait actuellement à ses parents. (...)
Du cadre enchanteur baigné par la lune et les millions d'étoiles à la présence de mon prince charmant, tout était réuni... Mais bien qu'en partie métamorphosée, je n'avais pas osé retirer mes dessous : pas encore assez sûre de moi... Il était tout de même le premier à poser ses yeux sur mon corps en partie découvert... Partagée entre un sentiment de timidité, résultant de mes complexes, et le désir de plonger à ses côtés sans entraves spirituelles, je me trouvais un peu déstabilisée...Galaaksembla le remarquer et s'arrêta, restant proche de moi. Je le touchai, la main légèrement tremblante. (...)
Arches, escaliers sans fins, torches marines, bâtisses de jades aux flèches élancées, arbres et coraux se succédaient, accompagnés par une myriade de poissons multicolores. Même sous l'eau, nous pouvions respirer, etGalaakreprit donc sa forme humaine. J'étais moins gênée que la première fois, un climat de confiance s'était noué entre nous, peut-être facilité par l'ivresse des profondeurs et l'atmosphère irréelle du lieu. (...)
Je restais ainsi, presque nue, une simple et unique petite culotte recouvrant mes dernières marques d'intimité. Cette nuit enfin, je pus aimer ces formes, si réceptives aux attentions qu'on leurs portait.Galaakles aimait tant et il me procurait un tel plaisir à s'en occuper si tendrement... Je n'avais plus honte de ce corps dont j'étais si complexée. (...)
Cela aurait pu être beaucoup plus progressif, mais l'énorme besoin d'être rassurée que j'éprouvais, couplé à l'attention et l'intelligence deGalaak, avaient sans aucun doute accéléré les choses, sans heurts. Merci mon amour... Le matin, nous revîmes Random. (...)
Qu'importe, cette nuit-là avait été merveilleuse... Inutile de dire que les jours suivants, nous passâmes de très nombreux moments ensemble,Galaaket moi. La classe continuait son petit bonhomme de chemin et les journées défilaient à toute vitesse. (...)
D'autres encore semblaient espérer plus que ce que je laissais entrevoir, mais le tout restait réservé àGalaak. La vie sociale se poursuivait donc. Quant à mes relations amoureuses, elles étaient de plus en plus poussées, les caresses de plus en plus intimes, et si j'étais encore vierge, c'est que je ne me sentais pas encore tout à fait prête. (...)
Toujours plus loin, il entreprit alors de les mordiller délicatement et je parvins au comble du plaisir... Quand brutalement, cette danse torride fut interrompue par une vive douleur, insupportable. Mes gémissements se muèrent en un cri de douleur.Galaaksurpris mais très attentif s'empressa alors d'arrêter et, avec douceur, s'enquit de mon état, un air inquiet sur son visage. (...)
Je ne voulais pas gâcher ce premier rapport si intense. J'enlevais donc le détestable objet puis je rassuraisGalaakd'un sourire affectueux, amoureux. Sereinement nous reprîmes nos ébats. Ce moment était trop important pour moi. (...)En cette douloureuse période, prise dans les tourmentes de l'adolescence, de ses brusques changements physiques ingrats et par la dure découverte des réalités d'un monde adulte lamentable, ce dont j'avais évidemment le plus besoin était le réconfort et l'amour de mon entourage, de ces gens qui croyaient en moi et me soutenaient. Galaak était de ceux-ci et depuis quelques temps, il était repassé à l'offensive, m'inondant de son amour et de ses désirs. Enervant, gentil et mystérieux à la fois, il ...