Premiers Pas
sur La Page à Papat au format (13 Ko)
Premiers Pas est un scénario pour Ambre. Il s'adresse à des débutants ou à de jeunes princes d'ambres faisant leurs premiers pas à la Cour d'Ambre. Les joueurs n'ont pas besoin d'une connaissance approfondie de l'univers ou des pouvoirs. Les données essentielles sont détaillés dans le scénario et peuvent être « ingérés » facilement en cours de route. Il est préférable que les joueurs soient d'une manière ou d'une autre fils d'un prince d'ambre (même s'il l'ignore) mais qu'aucun n'ait accès à des ...Contient : soirée (6)(...) Même s'il ya un mouvement de panique, il n'y aura aucun mal : ceci faisant partie du numéro... Tramwir repartira dés que son numéro sera fini. - un barde/ poète de kahsfa présente une ode en s'accompagnant à la harpe. C'est la fin de lasoirée, et ce numéro endormira une partie des spectateurs mettant ainsi fin à lasoirée. L'ambassadeur, entouré des PJs, prendra alors congés des derniers convives (il est tout de même 5 ou 6 heures du matin...). Les PJs pourront alors s'allonger dans l'antichambre pour quelques heures de repos. (...)
Une partie de l'après midi, il s'entraîne au maniement des armes ou écrits quelques poèmes ésotériques. Après un léger repas, il commence lasoiréeen fréquentantsoiréede la noblesse, salons à la mode et estaminet douteux. Il boit, mange, joue, flirte avec tout ce qui porte robe, et s'il est bon perdant, ne supporte pas qu'on le contrarie dans ces petits caprices. Rien de bien méchant, mais une telle vie de débauche peut vite fatiguer un homme. En fin desoirée, il est généralement ivre et ne fait rien pour aider les PJs à s'assurer de sa sécurité. Ainsi, durant lasoirée, il pourra affoler ses anges gardiens en disparaissant quelques instant (en fait on pourra aisément le retrouver dans un fourré du parc avec une courtisane : le déranger serait alors plutôt inconvenant). Le chambellan Arkim : Aussi chétif que son excellence l'ambassadeur peut-être imposant, il est aussi d'une sobriété exemplaire et se désespère de l'attitude de son maître. (...)