Résurrection Acte 2 : Le silence de la pierre
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Ce scénario constitue le second acte de la campagne pour Plagues dK : Résurrection. Vous trouverez le premier acte, Forsaken, dans le sublimissime webzine Body Bag N°2. Cependant, rien ne vous interdit de le faire jouer indépendamment. Il vous suffira juste d'introduire les deux PNJ principaux : Régal, un nécromancien en fuite, accompagné de Loreleï d'Haff, la fille du Duc. Plus longue dans le temps que le premier acte, cette partie de l'histoire mélange action épique, complot et exploration ...Contient : mal (6)(...) Jamais elle n'a vu une telle attaque sur cette route, ni des orques en armes aussi agressifs et aussi bien préparés. En général, ils maraudent en petits groupes assezmaléquipés et n'osent pas s'attaquer à un convoi aussi important (10 personnes). Elle et/ou le gamin peuvent guider les voyageurs vers le havre. (...)
Elle risque d'engager la parole du groupe sans demander l'avis des PJ (« Bien entendu nous sommes prêts à nous battre jusqu'au bout pour défendre vos gens... ») et a dumalà comprendre qu'on puisse penser autrement qu'elle. Dans la mesure du possible, elle n'utilise pas ses pouvoirs miraculeux. Les havrais vont immédiatement la respecter et si les choses devaientmaltourner, elle peut leur parler plus facilement que de simples étrangers. Son second souci, c'est de continuer à avancer dans la quête de la vérité. (...)
De plus, outre Loreleï, si un Sage fait partie du groupe et peut lire d'une façon où d'une autre la pensée, il découvre sansmalque même superficiellement, les deux protagonistes sont inquiets l'un pour l'autre. Note : dénoncer directement cette relation a des répercussions dramatiques pour les concernés. (...)
Plus rarement, les explorateurs peuvent mettre à jour une fosse camouflée (servant de nid à grouilleux), un bloc de pierre déjà tombé ou une lamemaldissimulée dans un mur. Ces pièges peuvent faire des dégâts aux imprudents ou dans le cadre d'un combat. (...)
Deux nains attablés attendent pour l'éternité, une choppe vide et poussiéreuse en main. Leur présence metmalà l'aise. Lorsque personne ne s'y attend, ils disparaîtront, laissant les choppes sur la table. On les retrouvera, en arme, immobiles, devant d'autres portes du refuge. (...)