Mazarin est mort... empoisonné par la Fronde Grise...
sur Le Site des Mousquetaires de l'Ombre au format (3.7 Mo)
Contient : azkabbar (4)(...) Aussi, plutôt que de traiter de son trépas dans un scénario inflexible et que vous saurez bien construire à votre gout, nous vous livrons ici les éléments les plus marquants de l'action de le Fronde Grise contre le Cardinal qui, avec le majorAzkabbar, est ou était leur principal ennemi. La Fronde Grise eut Mazarin pour « objectif » dès la fin de l'année 1657, lorsqu'il apparut que la troisième compagnie de mousquetaires enregistrait ses premiers gros succès et se montrait de plus en plus efficace dans la chasse aux évadés. (...)
Les médecins royaux n'en vinrent à bout qu'aidés par des hommes du Major. A partir de cette date, le cardinal Mazarin et le majorAzkabbarmirent en place, à toutes les strates de la maison du roi, plusieurs niveaux de contrôles. Des membres de l'équipage du Galérion furent détachés dans l'entourage immédiat du jeune monarque pour surveiller, prévoir, goûter... Ils demeurent présents sous couvert d'une discrète garde suédoise extraordinaire et traquent sans relâche un éventuel individu sous influence. (...)
Des prélèvements sont effectués sur la nourriture et les boissons puis sont analysés grâce à un petit appareil venu du vaisseau pénitentiaire. Les gouteurs ont aussi été remis au gout du jour. Un an et demi plus tard, début 1660, Mazarin etAzkabbarfurent victimes d'une tentative d'assassinat conjointe. Les deux alliés devisaient tout en effectuant une promenade en forêt de Fontainebleau, non loin du lieu de l'accident du Galérion. (...)
Le Major et les médecins comprirent le déroulement des choses mais furent incapables de trouver un antidote. L'état de santé précaire du Cardinal ajouta à la difficulté à le soigner. Le MajorAzkabbarà juré à son allié d'arriver à faire cesser les activités d'Akhoraz. En mai 1661, les laborantins du Galérion réussissent à mettre au point un antidote. (...)Pour la Grande Histoire, le cardinal Mazarin est mort à la suite de maladies. C'est un homme usé qui est veillé sur son lit d'agonie. Usé par la vie et l'exercice sans partage du pouvoir, miné par une goutte terrible, ravagé par la gravelle et les coliques néphrétiques. Un homme pâle, les cheveux blancs, décharné, à qui il arrive de perdre l'usage d'un bras... Il est ainsi décrit par le doyen de la faculté de médecine plus de deux ans avant sa mort. C'est aussi une volonté de fer qui ne ...