La Gazette du Surhomme #2: Contact
sur La Brigade Chimérique au format
Contient : morgors (11)(...) Les personnages sont des sympathisants de l'Institut Radium contactés par Irène Joliot-Curie en personne. Elle-même a reçu un message des habitants d'un satellite de Jupiter, lesMorgors. Ces derniers souhaitent rencontrer les terriens afin de mettre en place des échanges et ont choisi l'Institut du Radium pour ce faire. (...)
Après quelques péripéties, les personnages mettront la main sur une carte : direction l'Antarctique. Là-bas, une fois le portail passé, ils découvriront l'atroce vérité : lesMorgorsne sont pas un peuple pacifique mais une machine de guerre n'attendant qu'une chose, l'ouverture du chemin entre leur monde et la Terre. (...)
Elle leur expose les faits : elle a reçu un message des habitants de Io (un des satellites de Jupiter), lui proposant une « alliance ». Ils se font appeler lesMorgorset souhaitent échanger avec l'Humanité par l'intermédiaire de l'Institut du Radium : ils pourraient ainsi apporter leur technologie en échange d'autres connaissances des humains. (...)
En manque de soutien depuis que le Nyctalope a pris le pouvoir à Paris, elle a décidé d'accepter le marché desMorgorset d'envoyer quelques personnes en qui elle a confiance : les PJ. Car les extraterrestres ont mis une condition à cet échange : l'Institut du Radium devra trouver un portail menant sur Io et l'activer. LesMorgorsne souhaitent en effet pas échanger leur savoir avec des gens qui n'auraient pas montré qu'ils en sont dignes (et Irène les comprend parfaitement). (...)
Leur symbole (un disque d'où partent 5 pointes) est visible sur le portail, c'est le seul indice dont la scientifique dispose. Les personnages ont donc une mission simple : trouver le portail et se présenter auxMorgors. Une promenade de santé pour des vétérans comme eux. Scène II - Où les personnages se voient confrontés à la dure réalité des choses. (...)
Il habite toujours à Paris et se souvient parfaitement des ruines qu'il a visitées. Une construction arborait le symbole desMorgors. • La presse parle de ruines étranges qui ont été retrouvées en Antarctique mais ne donne guère plus de détails (en revanche elle mentionne le nom de Michel Lonfrey). (...)
Puis l'armée s e met en marche vers la colline, à une vitesse phénoménale [Vitesse surhumaine - (Attribut exceptionnel : Prestesse ) 5 / personnelle / illimitée / contraintes uniquement pour se déplacer / artificiel]... Les personnages n'ont que très peu d'options, ils doivent réussir à refermer le portail depuis l'Antarctique. Cependant, s'ils choisissent de tous revenir sur Terre, les forcesMorgorsne tarderont pas à traverser le portail à leur tour pour les assaillir et leur compliquer la tâche. (...)
Mais on pourrait imaginer qu'ils aient un rôle décisif dans le dénouement en ralentissant les forcesMorgorsau côté d'une partie des personnages. Final. En fonction du ton que vous souhaitez donner à la partie, n'hésitez pas à faire mourir vos personnages en héros lors de cette scène finale. (...)
Fils d'un des membres de l'équipage du Nautilus, cet agent du CID d'une cinquantaine d'années ne se sépare jamais des Mémoires de son défunt père, Mémoires qui comportent certains détails rappelant les indices desMorgors, le Nyctalope lui a donc confié la tête de l'expédition chargée de retrouver ce fameux portail. (...)
Et le voici lui, son fils, à la tête de l'expédition montée par le CID en réponse aux souhaits très insistants desMorgors. « Père. Aide-moi à comprendre ce que tu attendais de moi. Vais-je dans la bonne direction ? (...)Ce synopsis de scénario est celui qui a été écrit pour le festival « Il était une fois... Onyria 3 ». Il a été légèrement modifié. Il présente une ambiance à mi-chemin entre le classique film d'action (courses-poursuites, combats épiques) et le thriller (prédateurs cachés, ambiance pesante polaire) bien que vous soyez libre de le faire pencher vers l'un ou l'autre selon vos goûts personnels. Si vous jouez en musique, les bandes originales de 28 semaines plus tard, Devil May Cry ou encore Alien paraissent ...