Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : cochers(...) Lorsqu'il fait beau, l'après-midi, et particulièrement le dimanche entre 13 h et 14 h, on a là un coup d'oeil fort curieux : au S., des files interminables d'équipages des plus somptueux, avec des chevaux de race, descocherset des laquais en grande livrée et des dames en grande toilette ; au N., des cavaliers et des amazones faisant caracoler des montures superbes et paradant devant la foule de spectateurs qui se promènent ou sont assis sur les côtés : c'est une vraie foire aux vanités. (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...