Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : couronne (4)(...) A droite de cette porte des Lions, on trouve le Ticket Office où s'achètent les billets pour voir la collection d'armes et d'armures anciennes ou les joyaux de lacouronne. Ces deux visites distinctes coûtent chacune six pence, sauf les jours où elles sont gratuites. (...)
Pièces d'or • Le souverain (sovereign) : il vaut une livre sterling, soit 25 francs • Le demi-souverain (half a sovereign) : il vaut 10 shillings, soit 12 francs 50 Pièces d'argent • Lacouronne(crown) : elle vaut un quart de livre ou 5 shillings, soit 6 francs 25 • Le double florin : cette pièce rare vaut 4 shillings, soit 5 francs • La demi-couronne(half-crown) : elle vaut 2 shillings et demi, soit 3 francs 25 • Le florin : il vaut 1/10 de livre ou 2 shillings, soit 2 francs 50 • Le shilling : il vaut 1/20 de livre ou 12 pence, soit 1 franc 25 • Le sixpence : il vaut un demi-shilling, soit 62 centimes et demi • Le fourpence : il vaut 4 pence ou un tiers de shilling, soit 41 centimes et demi • Le threepence : il vaut 3 pence ou un quart de shilling, soit 31 centimes ¼ 160 Pièces de bronze • Le penny : il vaut 1/12 de shilling, soit 10 centimes • L'half-penny : il vaut un demi-penny, soit 5 centimes • Le farthing : il vaut un quart de penny, soit 2,5 centimes Billets de banque et chèques La Bank of England émet des billets, les plus courants étant ceux de 5, 10, 20 et 50 livres. Cependant, comme il y a bien des lieux où on ne les accepte que de mauvaise grâce, on privilégiera les pièces d'or. (...)
Certes, il est possible de les changer sur place en monnaie anglaise, mais on sort perdant de l'opération qui, de plus, entraîne davantage de frais que sur le continent. Unecouronne(crown) de 1892 Faire des achats Bazars Les bazars offrent une excellente occasion de se promener à couvert par le mauvais temps, entre une double rangée de boutiques remplies d'objets de toute nature et dont la variété seule est déjà intéressante. (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...