Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : prostituées (2)(...) A cette époque, certains taudis sont si périlleux que la police ne s'y aventure qu'avec une grande prudence, la pègre comprend de pittoresques figures, comme l'élégant swell mobsmen ou le redouté garotter, tandis que les rues sont envahies deprostituées, de mendiants et de voleurs de toutes sortes. Cette période est donc idéale pour jouer des scénarios et des campagnes prenant pour thèmes la criminalité et les bas-fonds. (...)
Les principaux changements sont évoqués et, le plus souvent, il s'agit d'évolutions plutôt que de révolutions : les taudis, s'ils ne sont plus impénétrables, n'ont rien perdu de leur caractère sordide ; l'élite des pickpockets, moins pimpante mais toujours aussi inventive, a conquis le métropolitain ; lesprostituées, contraintes à la discrétion, n'ont en rien disparu, pas plus que ne se sont volatilisés les cambrioleurs, les faussaires, les receleurs... Presque tous les profils décrits dans les pages suivantes ont subsisté : ils ont su, simplement, évoluer avec leur temps. (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...